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Sigmund Freud était franc-maçon

Actualités, Livres | 24 septembre 2012 | 0 | by A.S.

Le livre de Jean Fourton : « Freud Franc-maçon« , aux Editions Lucien Souny a fait l’objet de d’un article/entretien avec l’auteur sur l’éditorial belge « Le Vif.be » et d’une critique sur le site « L’Appel des Appels« 

Sigmund Freud médecin neurologue autrichien, pionnier de la psychanalyse ((1856-1939) fût franc-maçon initié à la loge « Wien » à Vienne qui dépendait de l’association maçonnique juive B’nai B’rith : une révélation qui ne manque d’intérêt  et qui ne peut être dissocié ni de son cheminement d’explorateur de l’inconscient.

Lire :

  • Freud chez les frères sur le site de Le Vif.be

La plupart de ses biographes ont préféré l’ignorer, et parfois le taire : Sigmund Freud (1856-1939) était franc-maçon. En 1897, à l’âge de 41 ans, il adhère à la loge « Wien », fondée dans la capitale austro- hongroise. Marié, père de trois enfants, le pionnier de la psychanalyse est, à l’époque, un médecin isolé et dépressif, bridé dans sa carrière hospitalo- universitaire et dans ses recherches. C’est aussi, en cette fin du xixe siècle, un homme sans illusions : il estime que l’assimilation des Juifs n’est plus possible dans son pays, où se répand à nouveau un climat d’antisémitisme.

Jusqu’à sa mort, quarante-deux ans plus tard, Freud restera fidèle à sa loge, qui dépend de l’association maçonnique juive B’nai B’rith. 

  • Livre de Jean Fourton : « Freud Franc-Maçon », aux Editions Lucien Souny sur le site « L’Appel des Appels »

La loge maçonnique, un refuge chaleureux et attentif pour l’exclu que Freud était

Au XIXe siècle règne un climat résolument hostile aux Juifs, tout particulièrement dans la capitale autrichienne. Au printemps 1897, l’année d’acceptation de Freud au B’nai B’rith, l’empereur François-Joseph cède à la pression de l’opinion publique et accepte un militant antisémite, Karl Lüger, comme maire de Vienne. La tension est vive… Les motivations justifiant que Freud se tourne vers la franc-maçonnerie sont probablement multiples, mais deux d’entre elles s’imposent : l’isolement et l’état dépressif traversés par Freud. En raison des découvertes qui scandalisent son époque, à peu près tout le monde, sauf son ami et médecin Edmund Kohn, lui tourne le dos. De surcroît, en octobre 1896, Freud perd son père Jakob, ainsi que son père spirituel, Jean-Martin Charcot.

Pour le sortir de son isolement, Edmund Kohn suggère à son patient sérieusement dépressif de déposer une demande d’entrée au B’nai B’rith, dont il fait lui-même partie. Il propose de le parrainer. L’initiation de Freud aura lieu deux ans après sa demande, le 29 septembre 1897, à la loge Wien. Freud ne trouvera nulle part ailleurs que dans cette loge un secours, un refuge, un accueil aussi solidaire, chaleureux et attentif. Il y restera fidèle durant quarante-deux ans et en fera un usage privilégié. Car une loge est un échantillon, un miroir de la société. Freud y rencontrera des individus appartenant à des horizons socio-professionnels extrêmement divers. Elle deviendra son premier auditoire, avant même les facultés et les sociétés savantes.


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