L’état d’esprit du Maçon à son arrivée en Loge
- Accueillez vos frères avec joie et soyez gentils en les serrant dans vos bras, montrant ainsi votre satisfaction de participer à cette rencontre.
- Si nécessaire, aidez à préparer la loge et profitez-en pour enseigner aux apprentis les raisons de chaque objet et sa signification.
- Essayez de vous conformer et d’encourager les Frères pour que la réunion commence à l’heure.
- Abandonnez les problèmes dits « profanes » avant d’entrer dans la salle des pas perdus.
- Quoi que vous fassiez, faites-le avec amour et gratitude, car beaucoup d’autres aimeraient participer et ne le peuvent pas.
N’oubliez pas : UNE MAÇONNERIE HEUREUSE ET CRÉATIVE DÉPEND DE CHAQUE PERSONNE (SAVOIR – VOULOIR – OSER – GARDER LE SILENCE)

Voulez-vous aller en loge aujourd’hui ?
- Votre participation sera toujours plus positive lorsque vos pensées seront plus altruistes.
- La participation positive sera celle de ceux qui, avec peu de mots, parviennent à contribuer grandement à de grandes réalisations.
- Lorsque vous parlez, passez au crible des « cribles » ; soyez toujours objectif et sincère dans votre propos. Cribles :
- Vrai
- Gentillesse
- Altruisme.
- Parfois, un frère a besoin d’être entendu ; donnez-lui l’occasion de s’exprimer.
- Parler trop fatigue presque toujours les auditeurs et ne sert à rien. Parlez peu pour que chacun puisse assimiler ce que vous avez d’important et d’utile à transmettre.
Comprendre les frères
- Nous ne pouvons pas et ne devons pas porter de jugements hâtifs sur ceux avec qui nous vivons.
- Nous sommes tous à l’école de la vie, apprenant à communiquer les uns avec les autres, et le discernement est différent d’une personne à l’autre.
- Il existe une telle diversité dans les formations individuelles. Vouloir qu’un Frère pense comme nous, c’est renier sa propre liberté. Si vous souhaitez faire une proposition, adressez-vous d’abord au Secrétaire de la Loge et vérifiez si le sujet est pertinent au moment de la Session.
- Nous avons l’obligation de guider, d’enseigner, mais jamais d’imposer des points de vue personnels inhérents à notre façon de voir, de sentir et de réagir.
- Ce n’est pas un hasard si l’on nous demande constamment d’être tolérants. Nous devons apprendre à être tolérants, d’abord envers nous-mêmes, puis envers les autres.
Journée de session. Savez-vous quoi faire ?
- Aujourd’hui, c’est le jour de la réunion. Pourquoi ne pas relire le rituel pour vous souvenir des détails ?
- Même si nous connaissons déjà le rituel par cœur, nous ne devons pas négliger notre position ou notre fonction dans la Loge.
- Si un frère fait une erreur, corrigez-le ; si possible, avec discrétion, sans en rire.
- Lorsque la cérémonie est réalisée par tous consciemment et avec amour, l’environnement tout entier reflète l’atmosphère de paix et de tranquillité entre tous.
- Le rituel doit être respecté dans les moindres détails. En y participant avec bonne volonté, tout devient plus beau, sans défauts ni erreurs, procurant un bien-être général.
Comment se présenter en loge
- Le temple est le lieu où les Frères se rencontrent, imprégnés du désir d’évoluer et de contribuer à l’évolution des autres.
- Enrichissez la réunion en vous présentant dans votre meilleur « habit », c’est-à-dire : dépouillé de tout mal, gardant des pensées nobles et altruistes, valorisant chaque Frère et respectant toutes les règles existantes.
- Une tenue soignée et soignée révèle la personnalité de celui qui la porte et influence directement la relation entre les participants à la réunion. Soyons donc prudents.
- Celui qui est fidèle dans les petites choses le sera aussi dans les grandes, et celui qui est infidèle dans les petites choses le sera aussi dans les grandes. Méfiez-vous des erreurs, car elles ne se respectent pas elles-mêmes.
- Il serait bon que chacun soit responsable ; c’est à chacun de nous de critiquer de manière constructive, en visant toujours le progrès du Frère immature dont le comportement nous cause de l’embarras.
Élégance
- Quelle satisfaction de voir l’élégance d’un Frère ; de trouver dans son comportement l’expression d’une éducation fine et impeccable.
- C’est un cadeau qui va bien au-delà de l’utilisation correcte des couverts et qui englobe bien plus que le simple fait de dire merci à quelqu’un pour sa gentillesse.
- L’élégance doit nous accompagner du moment où nous nous réveillons jusqu’au moment où nous nous couchons ; nous devons toujours la montrer, dans les relations les plus simples, où il n’y a pas de photographes ni de personnes qui regardent ou écoutent.
- L’élégant est quelqu’un qui s’intéresse à des sujets qu’il ne connaît pas, qui offre des cadeaux en dehors des dates festives, qui tient ses promesses et, lorsqu’il reçoit un appel, ne rend pas artificiellement difficile la réponse.
- Si amis et frères ne méritent pas une certaine cordialité, leurs ennemis ne l’auront certainement pas. La politesse s’use à force d’être négligée. Or, un détail n’est pas un détail ; c’est l’élégance du comportement…
L’Initié
- Lorsque vos yeux furent ouverts à la vraie lumière, une multitude d’objets, nouveaux à votre compréhension, attirèrent votre attention.
- Les diverses circonstances qui ont entouré votre réception, les épreuves auxquelles vous avez été soumis, les voyages qu’on vous a fait entreprendre et les ornements du temple dans lequel vous vous trouviez, tout cela réuni aurait dû exciter votre curiosité, et pour la satisfaire il n’y a pas d’autre moyen que la recherche de la connaissance et de la vérité.
- La Franc-Maçonnerie, dont les origines se perdent dans la nuit des temps, a toujours eu pour objectif particulier de rassembler tous les hommes de bonne volonté qui, convaincus de la nécessité de rendre un hommage sincère à la vertu, cherchent les moyens de propager ce que la douce et saine morale nous enseigne.
- Comme ces hommes désirent travailler à cette œuvre méritoire en toute tranquillité, calme et isolement, ils se rassemblent à cet effet dans des temples maçonniques.
- Les vrais francs-maçons se souviennent constamment non seulement des formes graphiques des symboles maçonniques, mais aussi, et surtout, des grandes vérités morales et scientifiques qu’ils représentent. Soyons tous honnêtes.
Libre et de bonnes mœurs
- Pour qu’un candidat soit admis à l’initiation, la Franc-Maçonnerie exige qu’il soit « libre et de bonnes mœurs ».
- Lorsqu’il y avait des domestiques, au Moyen Âge, toutes les corporations exigeaient que le candidat à l’apprentissage pour n’importe quel métier soit né « libre », car, en tant que domestique ou esclave, il n’était pas son propre propriétaire.
- De bonnes mœurs pour avoir orienté sa vie vers ce qu’il y a de plus juste, de plus élevé et de plus parfait.
- Ces deux conditions font qu’un homme est qualifié pour être franc-maçon et doté de réelles possibilités de se développer, visant à devenir un être plus parfait.
- Le Vrai Maçon est « Libre de préjugés et d’erreurs, de vices et de passions qui brutalisent l’homme et le rendent esclave du destin.
Ce que je ne dois pas oublier
- La franc-maçonnerie combat l’ignorance, sous toutes ses formes.
- Nous devons cultiver l’habitude de lire pour nous enrichir de connaissances,
- Nous devons être attentifs et toujours rappeler à mes frères qu’un Franc-Maçon doit avoir une apparence morale, civique, sociale et familiale sans défauts ni erreurs d’aucune sorte.
- N’oubliez pas : les mots émeuvent, mais les exemples inspirent ! En tant que franc-maçon, je dois toujours servir d’exemple, où que je sois.
- Luttons pour le principe d’équité, en donnant à chacun ce qui est juste, selon ses capacités, ses œuvres et ses mérites.
Le coffre de la veuve
- Il porte plusieurs noms, tels que : Tronc de la Solidarité, de la Charité, des Pauvres, de la Veuve, etc.
- Elle est dirigée par l’Hospitalier, qui fait aussi la collecte, obéissant à la hiérarchie fonctionnelle ; il offre le sac aux Frères sans regarder la main qui dépose l’aumône.
- Contribuer financièrement à la charité est l’un des devoirs les plus sérieux de tout franc-maçon, car, avec sa contribution, il libère les « fluides spirituels » qui l’accompagnent, donnant en fin de compte bien plus que de simples valeurs matérielles.
- « Plus heureux celui qui donne que celui qui reçoit » est un précepte biblique qui devrait toujours être présent à notre esprit.
- Lorsque nous déposons notre offrande, nous devons visualiser le destinataire, lui envoyer notre affection et nos vœux de prospérité.
C’est simple, non ? Pourquoi certains compliquent-ils autant notre Sublime Institution ?
Adapté d’un auteur inconnu
Important, très important, essentiel
Bon courage à tous
FRATERNITE