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PHILO FABLE : LE PÊCHEUR ET L’HOMME D’AFFAIRES

Réflexions | 6 août 2018 | 2 | by A.S.

le-travail-c-est-pas-la-sante-une-philofable-de-michel-piquemal,M45602Voici une « philo-fable » extraite du livre de Michel Piquemal « Les philo-fables Philo Fable : Le double pour tes voisins » : Le Pêcheur et l’homme d’affaires

« Un riche homme d’affaires était en vacances en Inde. Un matin, sur la grève, il aperçut la barque d’un pêcheur qui rentrait.

– Oh là ! lui cria-t-il. La pêche a été bonne ?

Le pêcheur lui sourit et lui montra quelques poissons posés sur le sol de sa barque :

– Oui, c’est une bonne pêche.

– Il est encore tôt. Je suppose que tu y retournes.

– Y retourner ? demanda le pêcheur. Mais pour quoi faire ?

– Mais parce qu’ainsi tu en auras plus, répondit l’homme d’affaires, à qui cela semblait une évidence.

– Mais pour quoi faire ? Je n’en ai pas besoin !

– Ceux que tu as en plus, tu les vendras !

– Mais pour quoi faire ?

– Tu auras plus d’argent.

– Mais pour quoi faire ?

– Tu pourras changer ta vieille barque contre un joli petit bateau.

– Mais pour quoi faire ?

– Eh bien, avec ton petit bateau, tu pourras avoir plus de poissons.

– Mais pour quoi faire ?

– Eh bien, tu pourras prendre des ouvriers.

– Mais pour quoi faire ?

– Ils pêcheront pour toi.

– Mais pour quoi faire ?

– Tu deviendras riche.

– Mais pour quoi faire ?

– Tu pourras ainsi te reposer.

Le pêcheur le regarda alors avec un grand sourire :

– C’est justement ce que je vais faire tout de suite. »

(D’après un récit de l’abbé Pierre) – (Michel Piquemal)


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2 comments

  • Ajn 16 août 2019 at 23:57

    La fable du pêcheur et de l’investisseur

    Un investisseur américain se promène au bord de l’eau, dans un petit village côtier mexicain. Un bateau rentre au port, contenant plusieurs thons. L’américain complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons, et lui demande:

    – Combien de temps ça a pris pour pêcher ces poissons ?
    – Pas très longtemps, répond le mexicain.
    – Mais pourquoi n’êtes-vous pas resté plus longtemps pour en capturer plus ?, demande le banquier.
    – Parce que ces quelques poissons suffiront à subvenir aux besoins de ma famille.
    – Et vous faites quoi le reste du temps ?
    – Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme… Le soir, je vais au village, voir mes amis, boire du vin, jouer de la guitare… Une vie bien remplie, quoi !

    L’américain l’interrompt :

    – J’ai un M.B.A. (master of business administration) de l’université Harvard, et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps, et avec les bénéfices dégagés, vous pourriez vous acheter un plus gros bateau. Avec l’argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un second, et ainsi de suite jusqu’à ce que vous possédiez une flotte de chalutier. Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l’usine, et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut-être New York, d’où vous dirigeriez vos affaires…

    Le Mexicain demande alors :

    – Combien de temps ça prendra ?
    – Quinze à vingt ans, répond le banquier.
    – Et après ?
    – Après, c’est là que ça deviendrait intéressant, répond l-américain en souriant. Quand le moment sera venu, vous pourriez introduire votre société en bourse, et vous gagnerez des millions !
    – Des millions ? Mais après ?
    – Après, vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis…

    Reply
    • Ajn 16 août 2019 at 23:58

      Je préfère cette version :

      La fable du pêcheur et de l’investisseur

      Un investisseur américain se promène au bord de l’eau, dans un petit village côtier mexicain. Un bateau rentre au port, contenant plusieurs thons. L’américain complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons, et lui demande:

      – Combien de temps ça a pris pour pêcher ces poissons ?
      – Pas très longtemps, répond le mexicain.
      – Mais pourquoi n’êtes-vous pas resté plus longtemps pour en capturer plus ?, demande le banquier.
      – Parce que ces quelques poissons suffiront à subvenir aux besoins de ma famille.
      – Et vous faites quoi le reste du temps ?
      – Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme… Le soir, je vais au village, voir mes amis, boire du vin, jouer de la guitare… Une vie bien remplie, quoi !

      L’américain l’interrompt :

      – J’ai un M.B.A. (master of business administration) de l’université Harvard, et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps, et avec les bénéfices dégagés, vous pourriez vous acheter un plus gros bateau. Avec l’argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un second, et ainsi de suite jusqu’à ce que vous possédiez une flotte de chalutier. Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l’usine, et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut-être New York, d’où vous dirigeriez vos affaires…

      Le Mexicain demande alors :

      – Combien de temps ça prendra ?
      – Quinze à vingt ans, répond le banquier.
      – Et après ?
      – Après, c’est là que ça deviendrait intéressant, répond l-américain en souriant. Quand le moment sera venu, vous pourriez introduire votre société en bourse, et vous gagnerez des millions !
      – Des millions ? Mais après ?
      – Après, vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis…

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