Communication de Jean Pierre Servel, Grand Maître de la Grande Loge Nationale Française (GLNF) aux Frères pratiquant le Rite Écossais Ancien et Accepté à la GLNF, demandant à ces derniers de suspendre toute fréquentation de toute structure relevant Suprême Conseil pour la France du Rite Écossais Ancien et Accepté car ce dernier accepte dans ses ateliers supérieurs des membres issues de loges « irrégulières »
En ma qualité de Grand-Maître, il m’appartient aujourd’hui d’achever la normalisation de nos relations avec les Juridictions, qui offrent aux Frères de la Grande Loge Nationale Française la possibilité de poursuivre leur perfectionnement initiatique au-delà des trois premiers degrés ou grades de la Maçonnerie symbolique.
La préoccupation qui m’anime est de permettre à chaque Frère de fréquenter des ateliers ou structures de perfectionnement, sous l’autorité de Juridictions souveraines et indépendantes, tout en veillant
simplement à ce que ces Juridictions n’acceptent en leur sein que des Frères n’appartenant qu’à des Grandes Loges dûment reconnues comme régulières.
À ce jour, toutes les Juridictions françaises ont accepté ce principe, sauf le Suprême Conseil pour la France, en charge du 4ème au 33ème degré du Rite Écossais Ancien et Accepté.
J’ai attendu plus de 18 mois avant de normaliser cette situation, ne voulant en aucun cas manifester la moindre ingérence de notre Grande Loge dans le fonctionnement du Suprême Conseil pour la France.
Il appartient à cette Juridiction de définir la qualité de ses membres selon les termes de ses propres Constitutions et Règlement Intérieur.
Il est temps en revanche de préciser que, compte tenu de la composition de ses effectifs, l’appartenance au Suprême Conseil pour la France et celle à la Grande Loge Nationale Française sont incompatibles.
Je demande donc aux Frères de la Grande Loge Nationale Française qui en sont membres, de suspendre la fréquentation de toute structure relevant du Suprême Conseil pour la France du Rite
Écossais Ancien et Accepté et ce, avant le 15 novembre 2014.
Je suis naturellement conscient des difficultés que cette décision peut occasionner pour certains de nos Frères attachés à leur atelier, comme je suis sensible aux préoccupations de ceux qui s’inquiètent d’une transgression manifeste des critères de régularité, si je laissais perdurer la situation actuelle.
Je suivrai avec attention tout développement permettant aux Frères pratiquant le Rite Écossais Ancien et Accepté de poursuivre leur chemin de perfectionnement selon leur désir.
Je vous prie de croire, mes Très Chers et Bien-aimés Frères, à l’assurance de mes sentiments fraternels.
Jean-Pierre SERVEL, Grand Maître
Paris, le 29 août 2014.
- Lire le communiqué : REAA GLNF
Abril, personne ne te reconnaît comme tel…
désolé de l’absence de relecture, fallait lire:
Qu’une organisation (la GLNF) ait implosé du fait d’un homme lui même issu d’un groupe ayant ouvert une voie funeste, je crois que « pro » et « anti » en conviendront tous.
Vous aviez corrigé et mille excuses
Mes TCF,
je suis atterré par ce qui se passe.
Qu’une organisation (la GLNF) est implosée du fait d’un homme lui même issu d’un groupe ayant ouvert une voie funest, je crois que « pro » et « anti » en conviendront tous.
Que la pantalonnade judiciaire qui s’en est suivie, au delà des avatars procéduraux, ait révélé des failles dans le système de gouvernance, tout le monde l’admettra. Que tout système de gouvernance (celui de la nouvelle GLAMF comme celui réformé de la GLNF) soit intrinsèquement imparfait est un présupposé qui laisse assez peu de place au doute…
Dès lors, comment, à la lumière de ce qui vient de se dérouler de 2010 à ce jour peut-il encore survenir?
Qu’il y ait des rancœurs, soit, mais que l’on arrive à nouveau à jeter l’anathème me laisse perplexe.
Ainsi, comme l’un des contributeurs le souligne, tant que la GLUA n’est pas intervenue, le silence régnait sur la colonne « géellénéfienne ». « Glamfiens » et autres « géelldéfiens » se prenaient à espérer le « sacred graal »! On avançait ses arguments et tous attendaient la position of London…
Et pan, Albion (perfidement???!!!) remettait en selle un cavalier dont la troupe avait été privée de vagabondages internationaux depuis de trop nombreux mois.
Heureux qui comme Ulysse… les dernières tenues des ex-« déreconnues » loges qui ont pu se tenir après l’annonce britannique laissaient présager d’une rentrée mouvementée. De leurs côtés, les « fédérés » prolongeaient leur ostensible (ostentatoire???) flirt avec cinq grandes loges continentales ménageant guère le suspens quant à la nature de la susdite rentrée… Et nous revoilà, année plus 4 d’un conflit aussi puéril qu’inutile, reparti sur le sentier de la guerre.
Deux ans d’abstinence de villégiature auraient pu laisser espérer que tous auraient pu tirer de salutaires enseignements de cette situation. Et bien non… Mais que diable, quelle doit être le souci d’un chef d’obédience? Préserver les valeurs des engagements que ladite obédience véhicule. Or, en interdisant de fait l’affiliation au SCPLF des FF GLNF, le GM jette de l’huile sur des braises qui ne demandent qu’à redonner des flammes…
Que JPS favorise la création d’un autre Suprême Conseil, personne (surtout pas le SCPLF ou les hiérarques de la GLAMF)ne saurait le lui reprocher. En revanche, anathème ainsi jeté, il guide à nouveau ses ouailles vers un rejet de l’autre.
Ce n’est pas en interdisant l’un d’aller vers l’autre que l’on est fort, s’est en affichant ses valeurs. Je suis catholique, il m’arrive de fréquenter des musulmans, des hindouistes même des sikhs. Je n’en renie pas pour autant mon éducation, mon catéchisme et les valeurs qui en découlent et qui sont profondément marquées de catholicisme. Vous n’allez pas le croire, mais il m’arrive également de fréquenter des femmes (si si) cela n’a pas encore opéré chez moi, suite à je ne sais quelle hypothétique contagion, une rétraction pénienne ou autre poussée mammaire !!!
Dès lors, opter pour l’interdiction de fréquentation d’un Souverain Conseil sous peine d’excommunication m’apparaît être l’expression d’une profonde faiblesse; celle de voir des adhérents quitter le navire.
Le pêché (qui n’est pas originel)de la centralisation de l’organisation de la GLNF est l’un des enjeux forts dont la réforme aurait permis une recomposition naturelle de l’obédience. En ne touchant pas à la sacrosainte centralisation, l’actuel GM de la GLNF n’a fait qu’appliquer un pansement sur une jambe de bois et c’est regrettable.
On ne dicte pas une conscience, on n’oblige que le dépendant, le faible ou le manipulateur. Quant au dernier, allez savoir qui de celui qui croit imposer ou de celui qui feint d’obéir est l’obligé? Croire en ses valeurs s’est les défendre et convaincre, ce n’est pas museler ou exclure.
Pour ma part, et pour ceux qui ont subi ces quelques lignes, je n’ai pas modifié ma conscience. J’ai, comme l’ensemble de l’atelier dans lequel je suis né, adhéré à la GLAMF, sur le principe de l’indépendance car (j’en fut l’un des impulseurs) nous avions créé une association porteuse d’un projet de temple (concrétisé depuis). Cette association créee avant la scission a, de fait, constitué la loge dont les membres sont également membre de l’Alliance.
Nous n’avons pas modifié nos pratiques, renié nos croyances, en particulier celle en Dieu. Nous n’avons pas intégré d’impétrant qui n’adhère pas aux principes de la régularité et nous sommes les mêmes FF. Je fréquente des FF dans un atelier de perfectionnement, ils viennent des deux obédiences et je les aimes tout autant que je les aimais avant 2012.
De grâce, ne confondons pas reconnaissance et régularité, ne confondons pas objectif et moyens. Notre but, quelle que soit la chapelle, est de favoriser une certaine harmonie et une certaine amélioration du « je ». Laissons à chacun la liberté de fréquenter telle tenue, n’affirmons pas désormais comme incompatible, l’adhésion à une association dont jadis l’on actait qu’elle était la suite logique de l’écocisme pratiqué en loge bleue…
Espérant ne pas avoir été trop long,
Un Frère qui croit en l’idéal maçonnique, mais qui s’éloigne de plus en plus des structures temporelles au sein desquelles les métalliques ambitions reviennent à un galop dont la vitesse devient insupportable.
merci pour ce moment passé à te lire qui change des post de comptoirs de bistro ou des allumés du clavier; en plus j’apprécie le ton et respecte le contenu de ton texte frat.
Bonjour,
D’un esprit soucieux le GM de la GLNF se dit préoccupé d’aider ses Frères qui désirent pouvoir poursuivre leur perfectionnement initiatique au-delà de la maitrise. En position de force il montre qu’il est tenu de veiller à ce que les Juridictions qui les accueillent respectent le principe des Grandes Loges dûment reconnues comme régulières. D’une rigueur implacable sa lettre à la fois récapitule, interpelle et démontre en peu de mots simples et pesés qu’est définitivement tournée la page douloureuse et humiliante de l’histoire de l’Obédience, que l’identité de cette dernière s’en trouve même renforcée par la fidélité éprouvée et que son avenir n’est aucunement négociable car il appartient à ses Frères et à eux seuls.
Je suis bien d’accord avec lui !
Pendant ces cinq dernières années, secoué par la crise vécue au milieu de mes Frères qui se sont finalement partagés sans trop se déchirer, j’ai tout fait moi aussi, à mon humble niveau, pour que la GLNF retrouve son honneur et sa dignité bafouée et pour que la confiance puisse être restaurée. L’épreuve a parfois été rude mais elle a révélé ce dont on ne parle jamais dans les blogs ou ailleurs au sujet des Frères : du courage, de la noblesse et de la générosité.
J’ai vu des Frères tenir leurs engagements, maitriser leurs passions, se poser les bonnes questions, tenter d’y répondre et même sans se trahir, se respecter malgré des choix divergents.
Bref j’ai vu des maçons !
Cependant la lettre -à l’unilatérale comme le saumon- du GM de la GLNF pose un « petit » problème au Frère que je suis, lequel aime et chérit fidèlement la GLNF depuis … louveteau par son propre père qui devint son frère…, tout en poursuivant finalement sereinement et malgré la crise sa progression initiatique dans les ateliers du SCPLF, au milieu de Frères d’érudition, d’amour et de sagesse, lesquels, certains exemplaires, se sont aussi montrés par le passé de grands serviteurs de l’Obédience. Ces Frères du SCPLF viennent toujours l’enrichir et acceptent que lui aussi puisse enrichir les autres, bien que toujours membre avec quelques-uns de la GLNF alors que la grande majorité vient désormais de l’Alliance.
Vivre c’est choisir, n’est-ce pas ?
Aujourd’hui de nouveau on nous demande de faire un choix qui va pour beaucoup d’entre nous nous déchirer et déchirer encore un peu plus ce qu’il nous restait d’espoir de réconciliation.
Pourquoi est-ce donc à nous de choisir ? Qu’avons-nous fait pour mériter un tel sort ?
« Sapere Aude ! », “aie le courage de te servir de ton propre entendement”, “Ose savoir” ou mieux “ose penser par toi-même”, vous le savez, est la devise des Lumières.
Elle n’est pour moi pas contraire à l’attitude d’un homme de Foi, ni une insulte à la tradition, mais plutôt un antidote à la paresse et à la lâcheté.
Penser seul ou isolé dans son coin n’est pas suffisant et il est meilleur encore de pouvoir le faire “avec et pour les autres”… ce que décidemment, on se le demande, si les “frangins en chef” arrivent à intégrer ?
Je ne prétends pas être meilleur que les autres en la matière, mais j’essaye!
On ne voit pas les choses de la même manière et avec les mêmes enjeux selon la place que l’on occupe. Bizarrement il est parfois plus facile de se mettre à la place de l’autre et de prendre en compte son point de vue que de camper sur ses positions et de défendre ses propres intérêts. Cela arrive rarement, mais pourtant, il faut garder espoir…
Il faut faire preuve de perspicacité ou être prophète pour suivre notre affaire comme il se doit et voir où elle nous mènera, avec ses méandres, ses zones d’ombre, ses calculs et ses incohérences, comme aussi dans ses ressorts automatisés et ses rebondissements parfois inattendus, que tout cela soit par moment décevant ou pas. Comment essayer de toutes manières d’en tirer un bien plutôt qu’un mal ?
Voyons par exemple un peu de ce que dit la lettre de Jean-Pierre Servel et de ce qu’elle peut, peut-être, sous-entendre pour un indécrottable optimiste :
Achever la normalisation d’une relations par ce qui va se révéler être la nécessité d’un arrêt pur et simple de fréquentation n’offre a priori pas beaucoup de perspectives de rétablissement de cette même relation dans l’avenir. C’est le terme « achever » qui pose problème par son caractère définitif; il signifie en finir avec quelque chose ou que quelque chose est, de fait, d’ores et déjà accompli et dont il faut prendre acte.
On peut examiner dans cette lettre ce qu’il est précisément dit de ce qui est achevé.
Dans le cadre d’un processus de retour à la normal de relations qui existaient auparavant la crise entre la GLNF et les Juridictions, cette lettre met fin à une situation particulière dans laquelle la relation entre la GLNF et l’une des Juridictions était devenue « anormale » au regard de la règle qui les régissait toutes deux et à laquelle elles se conformaient. Règle contractuelle entre les parties mais de surcroit –et c’est essentiel- règle constitutive de l’identité même des parties selon le principe de reconnaissance de régularité des parties se conformant à cette règle.
Pour la GLNF ne pas s’ajuster à la règle met en danger son identité même. Ce n’est donc pas la possibilité même, le désir, le souhait ou le non-souhait de relation qui est visé par cet achèvement mais la normalisation indispensable de celle-ci.
La composition nouvelle de la Juridiction en question suite à la crise a rendu anormale la relation et la fréquentation entre les deux parties. La normalisation de la relation doit donc s’achever nécessairement par l’achèvement de cette relation en l’état, c’est à dire par une suspension de fréquentation comme le dit plus loin la lettre.
Il n’est dit à aucun moment dans cette lettre que les conséquences de cette normalisation de la relation seraient définitives, au contraire : d’abord par la signification même du terme « normalisation » renvoyant à des notions communes réputées neutres, impartiales ou pour le moins rappelant ce qui était auparavant accepté par l’une et l’autre parties de la relation, ensuite de par le fait que la conséquence direct de cette normalisation soit qualifiée de suspension.
On pourrait peut-être réfléchir à la signification ou à la non-signification de ce mot « suspension ».
Par exemple suspendre n’est pas rompre ou couper; le temps définitif ou la résolution irrévocable ne peuvent être compris dans le paradigme du terme « suspension », lequel signifie plutôt tenir ou se tenir, « se tenir dans l’arrêt », mais même dans l’arrêt, « se tenir prêt » en tant que « se tenir prêt … à l’arrêt même de l’arrêt, à l’arrêt même de la suspension ».
Au regard de la règle et conformément à elle la relation aurait pourtant pu ou pourrait pourtant se normaliser autrement, mais dans une autre situation, avec une autre composition, selon une autre configuration.
Ce sont là malheureusement ou heureusement qu’interviennent la liberté : bêtise ou sagesse, vanité ou désintéressement, paresse ou courage, méchanceté ou sainteté, mensonge ou vérité, brefs les hommes entre eux capables du meilleur comme du pire.
Une autre situation aurait donc pu ou pourrait encore logiquement rendre la reprise de la relation tout aussi normale que sa suspension et même la nécessiterait tout autant logiquement.
Quelle composition possible les Frères de REAA souhaitent-ils et sont-ils capables de réaliser ?
Affaire à suivre et à ne pas lâcher.
Le GM de la GLNF ouvre le bal : y aura t’il de bons danseurs à se lancer sur la piste ? Je veux dire des danseurs capables d’inviter à la danse…
Extraits de la lettre du GM:
« En ma qualité de Grand-Maître, il m’appartient aujourd’hui d’achever la normalisation de nos relations avec les Juridictions qui offrent aux Frères de la Grande Loge Nationale Française la possibilité de poursuivre leur perfectionnement initiatique au-delà des trois premiers degrés ou grades de la Maçonnerie symbolique. »
« J’ai attendu plus de 18 mois avant de normaliser cette situation, ne voulant en aucun cas manifester la moindre ingérence de notre Grande Loge dans le fonctionnement du Suprême Conseil pour la France. Il appartient à cette Juridiction de définir la qualité de ses membres selon les termes de ses propres Constitutions et Règlement Intérieur. »
« Compte tenu de la composition de ses effectifs, les appartenances au Suprême Conseil pour la France et à la Grande Loge Nationale Française sont incompatibles. »
« Je demande donc aux Frères de la Grande Loge Nationale Française qui en sont membres, de suspendre la fréquentation de toute structure relevant du Suprême Conseil pour la France du Rite Écossais Ancien et Accepté »
« Je suis naturellement conscient des difficultés que cette décision peut occasionner pour certains de nos Frères attachés à leur atelier, comme je suis sensible aux préoccupations de ceux qui s’inquiètent d’une transgression manifeste des critères de régularité, si je laissais perdurer la situation actuelle. »
« Je suivrai avec attention tout développement permettant aux Frères pratiquant le Rite Écossais Ancien et Accepté de poursuivre leur chemin de perfectionnement selon leur désir. »
Voilà voilà voilà cela semblerait vouloir dire que : seul des FF. « Reconnus comme réguliers » c’est à dire obligatoirement membre d’une Loge « reconnue comme régulière » c’est à dire adhérente d’une Obédience « Reconnue comme régulière » par la GLUA seraient succeptible de créer et d’adhérer à un Suprême Conseil ne comprenant que des FF « reconnus comme regulier » donc ce Suprême Conseil serait soumis de facto à une Obédience Régulière ce qui est contraire à la Règle des Suprêmes Conseils Internationaux et à l’essence même du Suprême Conseil d’origine pour qui les Loges dites bleues n’existait as.
Alors je voudrais que l’on m’explique ?
selon moi amitié n’est pas soumission même si elle crée des liens et des obligations
En ce qui concerne juridiction et obédiences: pas soumission à une obédience mais lien d’amitié à toutes obédience régulières reconnues
En ce qui concerne juridiction et régularité: se conformer à une règle commune est ce se soumettre
» …la Règle des Suprêmes Conseils Internationaux et à l’essence même du Suprême Conseil d’origine pour qui les Loges dites bleues n’existait pas »
confidence pour confidence: les loges bleues existent … mais chut! ne le répétez pas c’est un secret
Mes FF peut être oublions nous un peu vite que ce n’est pas l’Obedience qui crée le Maçon mais l’inverse. Sans doute est ce le résultat de l’abandon par facilité de notre souveraineté à une structure qui n’est sommes toute que profane !
Et pourquoi pas renouer avec l’Origine des SC qui ont existé avant que n’existe les Loges Bleues et les Obédiences. Ils étaient souverains et ne s’occupaient pas des questions des Loges Bleues et travaillaient en toute independance.
Il n’était point besoin d’être dans une Loge il suffisait d’être MAÇON pour adhérer à un SC …….. Alors pourquoi ne pas se défaire de ces structures qui pratiquent ostracisme et exclusive ….. Tu es à la Glamf – Gldf – DH – GO – Glnf – Gltso – et d’autres alors tu peux pas venir chez nous ou aller chez eux …….. Pourquoi pas tous Unis Les MM REAA et autres au sein d’un Suprême Conseil Uni recevant tous les FF de bonne volonté pourvu qu’ils soit MM ? Quand donc primera la qualité de MM sur la quantité ?
Quand donc récupérerons nous notre souveraineté au delà des chapelles qui nous séparent Au lieu de nous réunir ?
@Christian ABRIL
c’est pas de l’amour vache ,non bien au contraire , la boucle est bouclée . tout a commencé avec le SCPF qui a toujours voulu avoir son obédience , comme le SCDF a la GLDF , sauf que le SCPF n’est régulier qu’a travers la GLNF et les FF de la GLNF ne peuvent plus au risque de mettre a mal la reconnaissance , fréquenter des ateliers qui reçoivent des FF de la GLAMF . LE SCPF a le retour de manivelle dans la figure car pour lui c’est maintenant que cela devient grave .il est a parier que les SSCC nord américains réagiront a la mesure de la GLNF . car ne nous y trompons pas , ils s’émeuvent d’une telle mesure (séparer les FF) que parce qu’elle met en danger sa régularité , si l’inverse c’était produit( reconnaissance GLAMF) ils auraient fait plus vite avec en prime un coup de pied au cul .
Le SCLPF n’a pas besoin de la GLNF pour être régulier, c’est méconnaitre le statuts et loi de l’ordre…
quant a la volonté du suprême conseil de posséder une obédience … l’on voit bien la désinformation a l’œuvre car tous les frères qui émanent de la GLNF se rappelleront ce qui s’est passé pour les autres rites…secret de polichinelle
cela fait des années et j’étais encore à la GLNF et me souvient encore de ses discussions puisque déjà la GLNF voulait un SC qui émane d’elle…et non l’inverse… pauvre maçonnerie française, pauvre fraternité!
Je sais donc ce qu’il me reste à faire…et démissionnerai comme beaucoup d’autres de mes FF de la GLNF
Rejoint donc le Suprême Conseil Uni qui accueille tous les MM sans ostracisme ni exclusive ni aucune des obligation d’appartenir à t’elle ou t’elle chapelle !
Pas de panique !
La C.M.F. et Le S.C.d.F veillent !
c’était inéluctable et compte tenu de la position de la GLNF , il est logique que cette décision intervienne maintenant. beaucoup de FF de la GLNF auraient voulu qu’elle intervienne plus tôt. le GM JPS préférant la patiente et la sincérité des FF . certains vont crier encore une fois a la trahison et diront que nous séparons les FF , mais comme l’explique JPS il n’y avait aucune alternative en terme de régularité pour la GLNF .
Et surtout cela n’a pas derange la Glnf de maintenir sa presençe dans le SCPLF alors qu’elle etait elle meme irreguliere…pendant deux ans!
Elle est belle la fraternite Francaise et surtout je ne regrette pas mon depart de cette obedience a vomir!
FucK fraternel
Belle preuve d’élégance, d’intelligence et de fraternité. Même si je désapprouve, je garde une dignité Mister Abril. Etes-vous sûr de ne pas vous être trompé de forum ou de confrérie ? Il doit bien s’en trouver une répondant à votre cas. Un franc-maçon comme vous, enfin !