GADLU.INFO - Franc-Maçonnerie Web Maçonnique
  • Une info à nous communiquer ?
  • Mentions légales
  • Contact
  • Actualités
    • Edito
    • Evenements
    • Communiqués
    • Anti-maçonnique
  • Web maçonnique
    • Sites obédiences
    • Sites Internet
  • Livres-Livres Gratuits
    • Livres
    • Livre maçonnique gratuit du mercredi
  • Textes
    • Le Manuscrit Halliwell dit Regius(1390)
    • Manuscrit de Cooke (1400)
    • Statuts de Ratisbonne (1498)
    • Constitutions d’Anderson (1723)
    • Discours de Ramsay (1736)
    • Constitutions d’Anderson (1738)
    • Discours de Ramsay (1738)
    • Manuscrit Graham (1726)
    • Catéchisme symbolique (1760)
    • Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen (1789)
    • Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (1948)
    • Code Maçonnique
  • Lexique
    • Abécédaire – Glossaire Maçonnique
  • Maçons célèbres
  • Planches-Contributions-Réflexions
    • Miscellanées Maçonniques
    • Planches
    • Réflexions
    • citations maçonniques
    • Vidéos qui font du bien
    • Chronique de Claude Darche
    • Chronique symbolique-poétique de Patrick Carré
    • Miscellanea Macionica
    • Chronique (im)pertinente de Jérome Touzalin
    • La Loge en folie
    • Chronique littéraire
    • LOGE LIBRE ET INSOUMISE

EN DESSIN – LA FRANC-MACONNERIE FORESTIERE

Réflexions | 10 mai 2022 | 0 | by A.S.

Le terme de Rite forestier désigne un ensemble de phénomènes historiques et sociaux très divers formant un espace de sociabilité qui recrute ses membres par cooptation et pratique des Rites initiatiques faisant référence aux métiers anciens de la forêt, essentiellement ceux de la « fenderie » (les fendeurs) et de la « charbonnerie » (les charbonniers). L’existence des Rites forestiers est difficilement traçable historiquement. Les plus anciennes mentions connues aujourd’hui concernant les Fendeurs et Charbonniers sont conservées aux Archives départementales de l’Yonne et datent du 1er mai 1673 et 10 avril 1674. C’est une condamnation épiscopale émanant de Nicolas Colbert, évêque du diocèse d’Auxerre. Il s’agissait probablement au départ de Rites de transmission des secrets du métier comme dans les compagnonnages classiques d’avant le XVIIIème siècle. Loin du monde urbain, l’exercice des métiers sylvestres exigeait de ses membres une solidarité sans faille et un devoir d’hospitalité.

source : NABLAT

Previous
LA VALEUR DE NOTRE FRATERNITÉ
Next
SALON MAÇONNIQUE ET COMPAGNONNIQUE DU GRAND LIÈGE

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Obtenez les nouveaux articles par mail :
Powered by follow.it