Le Dimanche 16 août 2015, Jean-Michel Dardour dans « Divers aspects de la pensée contemporaine » sur France Culture, m’a reçu, à l’occasion de la sortie de mon dernier ouvrage La morale du termite : Petit traité d’éveil spirituel et social à l’usage des hérétiques paru aux éditions Detrad aVs.
Sommes-nous libres ?
Est‑ce que les religions, les politiques, les rois et les États sont compatibles avec notre liberté d’être ?
Avons-nous été colonisés par tous ces maîtres au point d’abdiquer notre souveraineté ?
Sommes-nous des termites, dociles et aveugles obéissant aux ordres, aux désirs de la reine et du roi de la termitière ?
Dans ce remarquable ouvrage, qui est assurément celui d’une génération qui se réveille et qui a envie de changer le monde dans lequel elle vit ou plutôt survit, l’auteur prend le termite, petit animal dévoué qui se tue à la tâche pour sa termitière, comme symbole de nos divers aveuglements.
Si certains ont commencé par s’indigner, il est plus que nécessaire désormais de poser un regard lucide sur notre monde, tout comme sur la manière dont nous entrons en relation avec lui.
Un cri s’élève des profondeurs de notre humanité : il est temps que les libertés individuelles ne soient plus contrôlées par les normes dominantes, qu’elles soient issues des religions dogmatiques, des États, des pouvoirs économiques, commerciaux ou des médias…
Rien n’est définitif : au-delà de la servitude et de la cécité contrôlée quasi volontaire que nous vivons journellement, un espace de liberté peut-être retrouvé.
Biographie
Alain Subrebost est un personnage atypique, écrivain, conférencier, essayiste, musicien, compositeur, vidéaste.
À travers son travail d’écriture et de réflexion, ainsi que dans son parcours artistique, il partage son goût pour la Liberté et les moyens concrets de la réaliser tant au niveau intime, psychologique, spirituel que sociétal.
Et encore une !! Une pub de plus sur ton livre !! Je sais ce livre est ton bébé mais bon, le remettre toujours sur le devant de la scène commence à devenir lassant. En effet à force de trop en parler cela fait, pour moi, l’effet contraire. À savoir que cela ne me donne point envie de le lire. a Bien au contraire !! Dommage…
Sinon aussi le fait de toujours ramener ce que tu es, ce que tu fais – écrivain, conférencier, essayiste, musicien, compositeur et j’en passe certainement !! – me donne plutôt un sentiment de dispersion qu’autre chose. Au lieu de ce recentrer, c’est l’inverse qui arrive… Là aussi dommage !! Bien Fraternellement.