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LES BONS US ET COUTUMES EN FRANC-MACONNERIE

Planches, Réflexions | 31 mai 2025 | 0 | by A.S.

Quand on pense à la Franc-Maçonnerie, ce qui vient à l’esprit, presque immédiatement, c’est la figure du Franc-Maçon. Cette image est projetée dans notre société actuelle, par la position de nos prédécesseurs, qui ont consolidé leur caractère, leurs habitudes et leurs coutumes impeccables dans les questions politiques et sociales les plus diverses dans lesquelles ils étaient impliqués.

En ce sens, notre objectif est de renforcer les bonnes coutumes qui sont indissociables de la Franc-Maçonnerie, car, à travers elles, le Franc-Maçon se consolide comme paradigme de la société à laquelle il appartient.

Us coutume maconnique

Il est donc important de souligner que nous entendons par coutume l’habitude ou la pratique répétée associée à la moralité, généralement observée par la société, c’est-à-dire les procédures ou les comportements prescrits d’un point de vue moral. Ce sont des attitudes ou des valeurs sociales consacrées par la tradition. « La coutume est la règle acceptée comme obligatoire par la tradition ou par suite du peuple, sans que l’autorité publique l’ait établie ».

Il convient de rappeler que la rectitude, l’honnêteté, la loyauté, le respect, la tolérance et la justice sont essentielles pour le franc-maçon, car il est considéré comme un paradigme de la société, ce qui signifie qu’il a de bonnes coutumes et une réputation sans tache.

En Franc-Maçonnerie, les bonnes coutumes sont comprises comme des valeurs morales indispensables au Franc-Maçon, qui représentent la somme de ses actions et comportements dans le passé et le présent.

Dans cette optique, la Franc-Maçonnerie peut être comprise comme un centre d’union fraternelle, où la rectitude, la responsabilité, l’honnêteté, la bonté, la tolérance, la justice, la recherche de la vérité et de l’amélioration doivent être permanentes. En outre, elle défend et propage le respect et la pratique de l’éthique et de la morale.

Les bonnes coutumes se réfèrent donc, comme nous l’avons dit plus haut, à la fois au passé et au présent, c’est-à-dire qu’elles correspondent à la somme des deux. Lorsque la conduite, le comportement, la posture et les attitudes positives sont reconnus par vos proches ou par la société en général, nous pouvons dire que vous avez affaire à quelqu’un de bon caractère et, par conséquent, d’une réputation irréprochable.

De cette façon, nous pouvons dire que l’objectif principal de cet ouvrage est d’éveiller chez le Maçon l’intérêt pour le véritable sens de ce que nous appelons les « Bonnes Coutumes ». Cependant, certains pensent que les « bonnes manières » ne se réfèrent qu’à l’état actuel d’une personne, ce qui n’est pas vrai. Cette compréhension est erronée, car les « bonnes manières » peuvent être comprises comme la pratique répétée de bonnes actions, englobant à la fois le passé et le présent.

La Franc-Maçonnerie est une société qui, à juste titre, n’admet dans ses rangs que des hommes intègres, de bonnes mœurs et possédant un comportement éthique, moral et humaniste compatible avec son but, c’est-à-dire qui vise à atteindre le sommet de la perfection humaine, c’est pourquoi, pour rejoindre ses rangs, il est requis de remplir des conditions qui envisagent la droiture de son candidat.

De cette façon, la Franc-Maçonnerie, par l’observance de ses principes et de ses valeurs, énumérés ci-dessus, combinée à la pratique de la bienfaisance et à l’accomplissement inflexible des devoirs et des responsabilités, nous semble pouvoir, en elle-même, justifier la répulsion que les Francs-Maçons devraient ressentir envers la corruption, tout en défendant et en propageant en même temps le respect et la pratique de l’éthique, de la morale et des bonnes mœurs.

D’autre part, il nous semble que la Franc-Maçonnerie souhaite avant tout offrir à l’Homme Maçonnique une rencontre avec lui-même, en le transformant en son propre paradigme. Il est donc nécessaire que le Maçon soit toujours attentif à l’apprentissage et à la pratique correcte des principes maçonniques, tout en essayant d’empêcher qu’un Frère sans méfiance soit amené à pratiquer ce que nous appelons « l’Hérésie Maçonnique », s’écartant du véritable objectif de l’Ordre, qui est la recherche de l’évolution maçonnique.

En étant initié, le Franc-Maçon entre dans un « système » dans lequel ses membres sont tenus de suivre nécessairement ce que l’on peut appeler la « Voie Mystique », en vue de les conduire à un certain lieu, généralement caché aux non-initiés, mais qui peut être visible au vrai Franc-Maçon.

Cette compréhension nous amène à croire que la Franc-Maçonnerie est un système de connaissance extrêmement important et efficace, puisque son objectif principal est l’amélioration de l’homme dans le Monde Spirituel, mais en même temps elle n’abandonne ni n’ignore le Monde Matériel. La justification peut être que la santé matérielle est nécessaire, en particulier lorsqu’on pratique la philanthropie ou la charité, l’une des actions fondamentales de l’Ordre.

Comme mentionné précédemment, la philanthropie est également, parmi tant d’autres, l’un des objectifs de la franc-maçonnerie. Sa terminologie peut être traduite par « la Main de la Franc-Maçonnerie » tendue à ceux qui sont dans le besoin, Frères ou non, mais « donnant de la main droite sans que la gauche le sache ». Cependant, à l’époque moderne, la solidarité devrait, à notre avis et à juste titre, prendre le pas sur la philanthropie, puisque cette dernière « donne simplement le poisson », tandis que la première « apprend à pêcher », c’est-à-dire que dans un cas la faim est satisfaite pour un jour, tandis que dans l’autre, la faim peut être tenue à distance non seulement pour un jour, mais pour toujours.

Il convient de rappeler que le progrès que la Franc-Maçonnerie reconnaît comme essentiel peut être défini comme l’amélioration de l’humanité, fondée sur l’amélioration éthique, morale, intellectuelle et sociale de ses membres. De plus, certains de ses symboles sont le ciseau et le maillet, qui servent ensemble d’instruments pour rendre rugueuse la pierre brute que nous sommes et, en même temps, construire notre édifice moral ou spirituel. C’est là la véritable évolution humaine, surtout parce que le Maçon doit nécessairement rechercher la perfection humaine, jusqu’à devenir Maître de fait, ne se laissant pas confondre avec un laïc en tablier.

Il est tout à fait possible que, pour beaucoup de gens, être libre signifie ne pas avoir de limites. Cependant, pour le franc-maçon, la liberté doit être à double sens, c’est-à-dire que la liberté nécessitera toujours une responsabilité correspondante. Car la liberté n’exclut pas la discipline et ne peut pas non plus l’emporter sur la liberté des autres.

Par conséquent, « être libre et de bonnes mœurs » a une signification extrêmement importante pour la Franc-Maçonnerie, car on suppose que tout homme qui répond à ces exigences serait, en principe, en mesure d’être initié à l’Art Royal et pourrait même devenir un bon Franc-Maçon, un observateur attentif des traditions de l’Ordre. Cependant, pour mieux comprendre la phrase ci-dessus, il est nécessaire de comprendre qu’elle est interprétée à la lumière de l’éthique et de la morale.

Le terme « Libre » exprime le moment présent et désigne le citoyen en pleine jouissance de ses droits civiques, lesquels sont soumis aux droits d’autrui. L’expression « Bonnes manières » ne fait pas seulement référence au présent, mais aussi au passé, car il s’agit d’une somme de conduites, atteignant jusqu’à nos jours, c’est-à-dire de comportements et d’attitudes positifs reconnus par nos proches et par la société en général.

En ce sens, notre Ordre a raison d’exiger que, pour être initié à ses mystères, le présent et le passé du candidat soient pris en compte, de telle sorte qu’il soit ( Publié sur freemason.pt) vu et analysé comme un tout indivisible. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’il sera considéré comme apte ou non, c’est-à-dire libre et de bonne moralité, à recevoir la permission de rejoindre l’Ordre.

En fait, les hommes de bon caractère sont ceux qui ont reconnu ou consacré la valeur sociale, qui sont guidés par les choses justes, l’éthique, la morale, l’honnêteté, les idées les plus élevées, la discipline et le respect. Ils ne participent pas à des groupes dépourvus de morale ou d’honnêteté et, de plus, ils doivent jouir d’une bonne réputation et avoir une conduite irréprochable dans tous les domaines.

On peut donc dire qu’un homme libre est celui qui est libre de tout préjugé et de toute calomnie, c’est-à-dire qu’il doit nécessairement avoir une conscience libre et ne pas prendre le mal pour le bien. De plus, il doit être exempt de tout défaut. Ceci nous permet de déduire que la corruption et l’absence de bonnes coutumes éloignent toute évolution ou progrès moral du Maçon, tandis que l’observance de l’éthique, de la morale et des bonnes coutumes le rapproche de son évolution et de son progrès, notamment dans le domaine spirituel.

Enfin, nous concluons en invitant tous les francs-maçons à rechercher des attitudes compatibles avec les bonnes coutumes, surtout celles qui s’engagent envers la morale, l’éthique et l’évolution maçonnique, car c’est seulement ainsi que nous pourrons accéder au niveau de Maître Maçon de fait.

Adapté d’un texte écrit par Aildo Carolino

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