GODF / GLMF : COMMUNIQUE SUR L’INDEPENDANCE DE LA JUSTICE

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  Ces dernier temps, au nom de la laicité et de la loi de 1905, et pas un excés de zéle de laic comme souvent, le GODF a remis en cause l’hommage de la République au Pape François (drapeaux mis en berne…). Un hommage pourtant rendu à l’homme, plus qu’au Chef religieux, car ses prédécesseurs n’ont pas tous eu droit à un tel traitement, qui d’ailleurs restent motivé, puisque la mise en berne des drapeaux n’est pas assortis d’un deuil national. Pas besoin donc dans faire un scandale.

  Cependant l’une des pârticularités, que confèrait la religion catholique romaine au Pape François, était que sa parole était considérée comme infaillible.

  Il serait donc contradictoire, sur un plan laic, que la République et des militants de la laÏcité comme les maçons du G:.O:.D:.F:., accorde à des institututions de la République le même caractère religieux d’infaillabilité, alors que la Raison et l’ententement devrait conduire à admettre que la Justice comme toutes organisaions et instances sur cette Terre est avant tout formé d’êtres-humains et que ce qui est humains est faillible.

  Ce n’est pas pour rien que la notion d’erreur judiciaire existe.

  Qu’enfin au regard de la Constitution de la Véme République, critiqué une décision de justice demeure un droit constitutionnelle, en tout point point conforme à l’esprit maçonnique : le droit à l’esprit critique, à la liberté d’expression, de conscience, de pensée et d’opinion.

  Si demain, une décision de la justice administrative validait une subvention d’une collectivité à un édifice religieux, les maçons serait san doue les premier à monter au créneau.

  Il ne peut pas y avoir un deux poids, deux mesures, selon qu’une décision nous conviennes ou non.