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L’OEUVRE ÉCOSSAISE D’ÉTIENNE MORIN

Miscellanées Maçonniques | 4 octobre 2020 | 0 | by A.S.

MISCELLANÉES MAÇONNIQUES par Guy Chassagnard

En franc-maçon de tradition, attaché à l’histoire de ce qui fut jadis le Métier de la Maçonnerie avant que de devenir la Maçonnerie spéculative des Maçons libres et acceptés, notre frère Guy Chassagnard met en chroniques ce qu’il a appris dans le temple et… dans les textes ; en quarante et quelques années de pratique maçonnique. Ceci selon un principe qui lui est cher : Apprendre en apprenti, comprendre en compagnon, partager en maître.

Chronique 187

1762 – L’œuvre écossaise d’Étienne Morin

C’est à Robert-Freke Gould , éminent historien maçonnique du XIXe siècle, que l’on doit ce résumé de l’œuvre antillaise d’É­tienne Morin et de son évolution écossaise :

« Morin, arrivant en 1763, parvint à l’île de Saint-Do­min­gue, où il y établit son quartier général, sorte de grand orient pour les hauts grades du nouveau Monde. En 1770, il fonda un Conseil des Prin­ces du Royal Secret, vingt-cinquième de­gré, à Kingston dans la Ja­maïque, créa de nombreux inspecteurs généraux et, afin de propager le rite, il leur remit des pleins pouvoirs qui les commissionnaient ainsi qu’il l’avait été lui même.

« On ne possède pas de renseignements complets quant à la filiation de ces patentes, mais on sait que le premier inspecteur général désigné par Morin fut Henry Andrew Franc­ken de Kingston, qui se rendit plus tard à New York et établit, dans cet État, une loge de Perfection à Albany. 

« En 1791, lorsqu’éclata la révolution de Saint-Domin­gue, après laquelle on n’entendit plus parler de Morin, les colons français furent obligés de prendre la fuite et nombre d’entre eux cherchèrent un refuge en Amérique. Le comte de Grasse-Tilly et son beau-père Jean-Baptiste de la Hogue, se rendirent à Charleston où ils furent reçus inspecteurs généraux en 1796. 

« Jus­qu’en 1801, le plus haut grade connu aux Indes occidentales d’Amérique était celui de Prin­ce du Royal Secret, 25e et dernier degré du rite de Per­fection. Mais le 31 mai de cette année, une nouvelle puissance dirigeante fit son apparition, puissance dans laquelle fut absorbé ce rite ; elle prit le nom de « Suprême Conseil des Grands Inspec­teurs Généraux du 33e degré pour les États-Unis d’Amérique. »

  • La Franc-Maçonnerie en Question (DERVY, 2017),
  • –Les Constitutions d’Anderson (1723) et la Maçonnerie disséquée (1730) (DERVY, 2018),
  • –Le Dictionnaire de la Franc-Maçonnerie (SEGNAT, 2016).

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