Dans La Première Pierre, Philippe Buschini plante le décor d’un futur où les anciens États-nations ont laissé place à des cités-États dominées par des mégacorporations, et où la technologie a glissé de l’assistance vers la mise sous tutelle. Une dystopie nerveuse, portée par une enquête intime (des parents disparus, un héritage caché) et une idée centrale : la connaissance comme ultime forme de liberté.
DE QUOI PARLE “LA PREMIÈRE PIERRE” ?
Au cœur de Neo-Lutèce, vitrine d’OmniaCorp, une IA (AURORA) et des implants — des “modérateurs cérébraux” — encadrent pensées, émotions et souvenirs. Dans cet univers où le réel devient malléable, Emma et Camille repèrent une faille : une brèche qui les entraîne sur la piste de leurs parents et d’un legs clandestin, celui des Veilleurs, gardiens d’un savoir ancien capable d’ébranler l’ordre établi.
CE QUI FAIT LE SEL DU ROMAN
- Un imaginaire techno-politique efficace : surveillance “intime”, contrôle cognitif, vérité manipulée — des thèmes très actuels traités en mode thriller dystopique.
- Une dimension “initiatoire” : héritage secret, transmission, passage d’un monde “fabriqué” à une lucidité plus coûteuse. (C’est une lecture possible au vu du synopsis, même si le roman reste avant tout une dystopie d’action.)
- Un duo de personnages au centre : l’histoire avance à travers leur découverte progressive des règles du système… et de ce qui se cache derrière.
- Titre : Les gardiens de la connaissance – T1 : La Première Pierre
- Auteur : Philippe Buschini
- Éditeur / Collection : Le Compas dans l’Œil (Compas Œil), collection L’Égrégore
POUR QUI EST CE LIVRE ?
À lire si tu aimes :
- les dystopies façon cités hyper-technologiques,
- les intrigues d’héritage caché et de révélations,
- les récits où la liberté n’est pas un slogan, mais une conquête intérieure.
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