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LE DEGRE DES AGAPES : QUAND LE COMPAS SERT DE TIRE-BOUCHON

Planches, Réflexions | 17 août 2025 | 0 | by A.S.

ATTENTION / WARNING HUMOUR

On parle souvent des trois degrés symboliques de la franc-maçonnerie : Apprenti, Compagnon, Maître. Mais il existe un degré secret, jamais écrit dans aucun rituel, et pourtant reconnu par tous les Frères et Sœurs : le degré des agapes.

Le rituel gastronomique

Car après la solennité du Temple, la gravité des mots et la rigueur des symboles… vient le moment où les Frères se réunissent autour de la table. Là, plus besoin de maillet ni de glaive : les armes sacrées deviennent fourchettes et tire-bouchons. Et, croyez-moi, certaines mains tremblent plus en servant le vin qu’en tracer l’étoile flamboyante.

Le Frère Hospitalier en chef cuisinier

Aux agapes, on découvre des talents cachés :

  • Le Frère Hospitalier, d’ordinaire gardien des aumônes, se transforme en grand prêtre du barbecue, distribuant merguez et brochettes comme des bénédictions fraternelles.
  • Les Surveillants, censés contrôler la colonne du Nord et celle du Midi, deviennent les surveillants de la cuisson, discutant passionnément pour savoir si la viande est « à point » ou « trop cuite ».
  • Quant au Secrétaire, il note scrupuleusement dans le compte rendu : « L’assiette de pâtes du Frère X a été engloutie en moins de trois minutes ».

Le Vénérable et le tire-bouchon maudit

Le Vénérable Maître, toujours impeccable dans ses rituels, se heurte invariablement à une énigme insoluble : où est passé le tire-bouchon ?
Chaque tenue, c’est le même drame. On le cherche partout : dans le plateau du Premier Surveillant, dans le sac du Maître des Cérémonies, parfois même dans le Tronc de la Veuve (mais non, ce n’est pas une offrande symbolique, juste une bouteille coincée). Finalement, un Frère ingénieux finit par déboucher la bouteille avec… un compas. La franc-maçonnerie, c’est aussi l’art du détournement créatif.

L’Apprenti et la parole retrouvée

Enfin, il y a l’Apprenti. Pendant toute la tenue, il a respecté la règle du silence avec un sérieux exemplaire. Mais dès que le dessert arrive, il devient soudain un orateur intarissable : « Alors moi je trouve que la mousse au chocolat, symboliquement, représente l’obscurité de la matière brute… ». Personne ne l’arrête, sauf peut-être le Frère Couvreur, qui lui glisse discrètement : « Mange, mon Frère, ça t’évitera de trop parler. »

L’art royal du rire et du partage

Les agapes sont la preuve vivante que la maçonnerie ne se limite pas aux rituels et aux symboles. Elles rappellent que la fraternité, pour être solide, doit aussi savoir se nourrir… de vin, de pain, de rires et parfois de merguez un peu trop grillées.

Alors, oui, on peut dire que les agapes sont un degré initiatique à part entière : celui où la fraternité se digère avec humour et où l’on comprend que, finalement, un Frère rassasié est toujours un Frère plus sage.

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