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LA KABBALE – GERSHOM SCHOLEM

LIVRES / REVUES | 2 octobre 2025 | 1 | by A.S.

Gershom Scholem donne ici toutes les clés nécessaires à la compréhension de la kabbale, ce courant mystique, né dans l’Antiquité, et qui a trouvé sa forme définitive au XXᵉ siècle. Les concepts sont exposés avec une clarté d’expression étonnante au regard de la complexité des oeuvres et des thèmes abordés.

La kabbale constitue donc un état des connaissances en matière de mystique juive. De cet ouvrage, en forme d’invitation au voyage, ressort la quête d’un judaïsme de la liberté où le souci de la fidélité à la tradition ne se referme jamais sur lui-même mais ouvre sur un monde où l’utopie est présente.

La Kabbale 

de Gershom Scholem (Auteur), Joseph Dan (Préface) – Folio

LIEN

Gershom Scholem donne ici toutes les clés nécessaires à la compréhension de la kabbale, ce courant mystique, né dans l’Antiquité, et qui a trouvé sa forme définitive au XXᵉ siècle. Les concepts sont exposés avec une clarté d’expression étonnante au regard de la complexité des oeuvres et des thèmes abordés.La kabbale constitue donc un état des connaissances en matière de mystique juive.De cet ouvrage, en forme d’invitation au voyage, ressort la quête d’un judaïsme de la liberté où le souci de la fidélité à la tradition ne se referme jamais sur lui-même mais ouvre sur un monde où l’utopie est présente.

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1 comment

  • yonnel ghernaouti, YG 3 octobre 2025 at 07:20

    Dans les méandres mystiques où la lumière divine se diffracte en éclats éternels, l’ouvrage « La Kabbale » de Gershom Scholem, préfacé par Joseph Dan, nous convie à une immersion profonde au sein d’un courant ésotérique né dans l’Antiquité et parachevé au XXe siècle. Gershom Scholem, né en 1897 à Berlin au cœur d’une famille juive assimilée, rejeta les entraves d’une rationalité étroite pour embrasser le sionisme, s’établissant en Palestine en 1923. Gardien des textes anciens à la Bibliothèque nationale, il devint le premier professeur de mysticisme juif à l’Université hébraïque de Jérusalem, tissant des liens avec des intellectuels comme Walter Benjamin ou Hannah Arendt.
    Sa vie, jusqu’à sa mort en 1982, fut une quête ardente des racines initiatiques du judaïsme, influençant les réflexions sur la liberté spirituelle et l’anarchie religieuse. Parmi ses œuvres phares, Major Trends in Jewish Mysticism (1941) esquisse les courants mystiques avec vision ; Jewish Gnosticism, Merkabah Mysticism, and the Talmudic Tradition (1960) fouille les racines gnostiques talmudiques ; On the Kabbalah and Its Symbolism (1965) décrypte les motifs symboliques ; Sabbatai Sevi: The Mystical Messiah (1973) analyse le messianisme sabbatéen ; Origins of the Kabbalah (1987) remonte aux sources médiévales ; et Kabbalah (1974), l’ouvrage en question, synthétise sa recherche, complété par On the Mystical Shape of the Godhead (1997) et Zohar – The Book of Splendor (1995), qui font vibrer les textes primordiaux.
    Gershom Scholem nous guide à travers les strates historiques de la kabbale, des visions célestes de la Merkabah antique – sept palais initiatiques évoquant les grades maçonniques d’ascension vers la lumière – au Zohar du XIIIe siècle, transformant la Torah en un réseau vivant de symboles, chaque lettre hébraïque ouvrant sur l’infini comme une clé hermétique. Nous percevons l’évolution à travers les crises juives, notamment le lurianisme du XVIe siècle avec Isaac Luria, qui réinvente la cosmogonie via le tsimtsoum – retrait divin engendrant le monde par contraction –, rappelant les transmutations alchimiques où l’exil se mue en rédemption, liant kabbale et hermétisme occidental en une danse d’opposés.
    Gershom Scholem illumine les entrelacs divin-humain, posant l’Ein Sof – Infini absolu – et ses dix sephirot formant l’Arbre de Vie, diagramme symbolique tel un temple maçonnique intérieur, guidant par miséricorde et rigueur, où le mal est déséquilibre cosmique appelant au tikkun – réparation – via rituels éthiques.Cette plongée initiatique révèle la kabbale comme voie gnostique, opposant révélation intérieure à loi extérieure, avec figures comme Sabbataï Tsevi au XVIIe siècle, dont le sabbatéisme inverse interdits pour hâter la rédemption, écho aux paradoxes maçonniques du chaos précédant l’ordre. Les noms divins deviennent invocations hermétiques activant flux spirituels, infusant la prière juive de contemplation, transformant le shéma en union mystique, l’âme s’élevant en devekut – adhésion à Dieu – effaçant le moi.
    Gershom Scholem offre une expérience intérieure, interrogeant le judaïsme comme quête de liberté utopique, reliant à néoplatoniciens et alchimistes en symphonie cosmique. Je ressens une affinité maçonnique profonde : la kabbale, sous sa plume, est art royal de construction spirituelle, avec outils symboliques – compas de mesure divine, équerre d’équilibre – menant à la pierre angulaire de l’âme, transmutant exil en présence divine, ombre en lumière éternelle, forgeant un judaïsme vibrant d’énergie initiatique au rythme du cœur universel.

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