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FRANC-MACONNERIE ET CHEVALERIE : UN MÊME IDEAL DE LUMIERE

Actualités | 30 juillet 2025 | 0 | by A.S.

Franc-maçonnerie et chevalerie : un même idéal de lumière

En Franc-maçonnerie, les frères sont des hommes libres, de bonnes mœurs, voués à l’édification d’un monde meilleur, reflet de la perfection recherchée entre les colonnes.

Humanistes et hommes de foi, les maçons ont toujours lutté pour la justice, le soutien et la défense des plus faibles et des défavorisés, ainsi que pour l’aide aux plus démunis.

Dans la chevalerie, la vie du chevalier était régie par un code d’honneur. Ce dernier ne méritait véritablement ce titre que s’il le suivait et l’honorait, en s’améliorant lui-même en tant qu’homme, et en œuvrant à élever le monde autour de lui, en tant qu’élément central de son contexte social et historique.

Le code de chevalerie, tel que nous le connaissons aujourd’hui, remonte à l’époque carolingienne en France. Il énonçait les règles de conduite que devait suivre le chevalier, notamment :

  • Craindre Dieu et contribuer au maintien de son Église
  • Servir son seigneur avec courage et fidélité
  • Protéger les faibles et ceux qui sont incapables de se défendre
  • Porter assistance aux veuves et aux orphelins
  • S’abstenir d’offenser volontairement autrui
  • Mener une vie honorable et digne de gloire
  • Mépriser les récompenses matérielles
  • Lutter pour le bien-être de tous
  • Respecter les autorités légitimes
  • Défendre l’honneur de ses compagnons d’armes
  • Combattre l’injustice, le mal et le mensonge
  • Garder la foi
  • Dire la vérité en toutes circonstances
  • Faire preuve de persévérance
  • Honorer la dignité féminine
  • Ne jamais refuser le défi d’un égal, ni tourner le dos à un adversaire

En observant attentivement les engagements du chevalier et les serments prononcés devant Dieu et les hommes lors de la cérémonie de l’éperon et de l’épée, nous reconnaissons aisément des parallèles avec notre propre voie, dont nous sommes les héritiers : une vie noble, pure et consacrée à l’élévation du monde.

Le Maçon, digne de ce nom et du respect de ses frères, s’engage à protéger l’honneur des siens et à venir en aide aux démunis. Il prête serment de combattre l’injustice et les ténèbres sous toutes leurs formes.

Il professe, comme condition d’admission, sa foi en Dieu — quelle que soit la face sous laquelle il le conçoit. Il respecte l’honneur et la vertu féminines, témoignés par l’estime qui leur est portée en Loge. Il s’engage à secourir veuves et orphelins, et surtout, il s’oblige de manière indélébile et inéluctable à la quête de la vérité, à la diffusion de la lumière, à la lutte contre la tromperie, le mal et l’injustice, avec toutes les armes dont il dispose et animé d’une persévérance inépuisable.

Le code de chevalerie a été immortalisé par les mythes et légendes issus du folklore arthurien.

Les chevaliers, hommes bons et vertueux, voués à l’amélioration de la société dans laquelle ils vivaient, se réunissaient en égaux autour d’un cercle — la table ronde — où la chaîne d’union fraternelle était la base de l’action chevaleresque. Bien que dirigés par un roi, ils s’y asseyaient en frères, en pairs.

Ces chevaliers, dignes de ce nom et du respect de leurs compagnons, étaient des bastions de la foi, de la vertu et de la lumière. Aujourd’hui, on retrouve leur reflet dans la Franc-maçonnerie et dans les idéaux que nous nous efforçons de maintenir vivants au sein d’une société toujours plus matérialiste et spirituellement appauvrie.

Le véritable chevalier — juste, honorable et valeureux — trouve un miroir fidèle en la personne du véritable Maçon : homme libre, de bonnes mœurs, craignant Dieu et défenseur de la lumière.

Les parallèles entre la symbolique maçonnique, la symbolique alchimique et la mythologie héraldique, tout comme les rites d’initiation et d’élévation de l’homme vers un état de conscience plus élevé et une action plus noble dans le monde, constituent un sujet fascinant. Ce sujet dépasse largement le simple parallèle d’idéaux ; il constitue en vérité la première de nombreuses passerelles entre notre A∴ O∴ (Art Royal) et la chevalerie médiévale.

Cette quête devrait être un engagement pour tous les maçons, en particulier ceux liés aux rites ou systèmes chevaleresques comme le R∴ E∴ R∴ (Rite Écossais Rectifié). Car la voie réside dans le symbole, et la chevalerie est riche de symboles et de messages qu’il est essentiel de savoir entrevoir et comprendre.

C. E.

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