- En maçonnerie, on apprend à se perfectionner… mais jamais à plier un tablier sans faire de plis.
- Le silence en Loge est d’or… sauf quand quelqu’un éternue.
- L’équerre et le compas : parfaits pour construire sa vie… ou monter une étagère Ikea.
- Une planche bien faite, c’est comme un bon vin : ça demande du temps… et ça peut parfois s’éterniser.
- La Lumière maçonnique ? Parfois, elle commence par trouver l’interrupteur.
Un franc-maçon, ça se reconnaît à quoi ?
À sa poignée de main secrète ? À son tablier ? À sa tendance à collectionner plus de symboles qu’un dictionnaire d’émoticônes ? Peut-être. Mais en vérité, un franc-maçon se reconnaît surtout… à sa capacité à sourire de lui-même.

Le rituel… et les petites maladresses
En théorie, tout est parfaitement réglé.
En pratique ?
Le frère qui confond toujours sa gauche et sa droite au moment de se placer.
Celui qui laisse tomber son maillet en plein silence solennel (bruit garanti pour réveiller toute la colonne d’harmonie).
Et cette éternelle quête pour se rappeler à quel moment exact on doit dire « V\ .M\ . » sans que ce soit trop tôt… ou trop tard.
Les outils symboliques… et la vie quotidienne
L’équerre et le compas sont censés guider notre existence.
Sauf que parfois, l’équerre sert à vérifier si l’étagère du salon est bien droite… et le compas à dessiner des cercles parfaits pour un gâteau d’anniversaire.
Eh oui, même les symboles les plus sacrés finissent parfois par se retrouver au service du bricolage du dimanche.
Les travaux… et les digressions
Une planche maçonnique est censée être profonde, construite, inspirante.
Mais entre deux citations philosophiques, il y a toujours un frère ou une sœur qui se dit :
« Et si je racontais une petite anecdote historique qui n’a strictement rien à voir mais qui est trop bonne pour être gardée pour moi ? »
Résultat : on passe de Platon à la recette de la meilleure soupe à l’oignon en moins de cinq minutes.
La Franc-maçonnerie est une école de rigueur, de réflexion et de fraternité.
Mais c’est aussi un lieu où l’on apprend à sourire, à accepter les imperfections, et à se rappeler que même les bâtisseurs de cathédrales devaient parfois poser la truelle… pour raconter une bonne blague.




