Un événement tragique interprété symboliquement
Aux États-Unis, l’assassinat de Charlie Kirk a suscité des réactions passionnées. Pour certains francs-maçons américains, ce drame dépasse le simple fait divers : il incarne une attaque contre les valeurs judéo-chrétiennes et maçonniques qui, selon eux, ont façonné la civilisation occidentale depuis les Lumières.
- Source : article du bloggeur américain Darren Allat : Voir ici
La franc-maçonnerie comme socle moral
Ces frères rappellent que la franc-maçonnerie a toujours affirmé que :
- la vérité vient de Dieu, le Grand Architecte de l’Univers,
- les droits naturels proviennent du Créateur, et non des gouvernements,
- la loi morale existe indépendamment des opinions humaines,
- l’homme doit répondre à une autorité supérieure à l’État.

Ces principes, ancrés dans les loges et visibles dans le Volume de la Loi Sacrée, auraient inspiré les Pères fondateurs américains lorsqu’ils rédigèrent la Déclaration d’indépendance.
Charlie Kirk comme « franc-maçon sans tablier »
Bien qu’il ne fût pas initié, certains rapprochent son attitude de la méthode maçonnique : débats ouverts sur les campus, défense de la liberté d’expression, respect de la parole de l’adversaire.
Ses événements « Prouvez-moi que j’ai tort » invitaient au dialogue et rappelaient la quête de vérité par la confrontation des idées, si chère à la tradition maçonnique.
Une critique du relativisme moderne
L’article américain dénonce une nouvelle idéologie qui, selon ses auteurs, renverse la notion de tolérance.
La tolérance classique (« je ne suis pas d’accord, mais je défends ton droit à l’expression ») serait remplacée par une tolérance forcée (« vous devez affirmer mes opinions, sinon vous êtes un fanatique »).
Ainsi, le désaccord devient « violence », et la censure se justifie au nom de l’inclusion.
Un appel aux francs-maçons
Pour ces francs-maçons américains, la mort de Charlie Kirk symbolise l’urgence de défendre les fondations de la civilisation : vérité, liberté de conscience, dignité humaine, responsabilité individuelle.
Ils appellent à « reconstruire ce que d’autres détruisent », en utilisant les outils symboliques de l’équerre et du compas, et en préservant la dimension divine qui, selon eux, soutient l’édifice.
Cet article reflète un point de vue très marqué de certains francs-maçons américains, qui interprètent la mort de Charlie Kirk comme une attaque contre l’héritage spirituel et moral de l’Occident.
En France, où la franc-maçonnerie s’inscrit dans un autre contexte culturel et philosophique, cette lecture peut surprendre. Elle montre toutefois combien la franc-maçonnerie, selon les pays et les traditions, peut nourrir des visions différentes de son rôle face aux bouleversements contemporains.




