L’humour maçonnique est une affaire subtile, tissée d’allusions, de symboles et d’autodérision. Il ne cherche pas le rire gras mais l’éclat complice, celui qui circule entre initiés. On y joue avec les mots, les grades, les rituels. Une planche mal posée ? Un frère dira qu’il a dû l’ébaucher sans maillet. Une loge qui démarre en retard ? On évoquera l’éternité du chantier. Mais derrière la plaisanterie, c’est aussi une manière de désamorcer le sérieux excessif, de rappeler que la quête de lumière ne doit pas éteindre la joie. L’humour, en loge comme ailleurs, est une marque d’intelligence – et de fraternité.






Il faut hélas reconnaitre qu’elle est pauvre,répétitive et rarement drôle.( Ce qui devrait inciter à l’humilité,est ce le but?)