Écrit à quatre mains, ce premier volume de la trilogie Malum et Bonum plonge le lecteur dans une aventure palpitante et pleine de rebondissements à la recherche de la vérité. Une quête qui va conduire Adeline, à travers la découverte d’un monde ésotérique, à des révélations ahurissantes sur ses origines familiales et à l’accomplissement de son destin.
MALUM ET BONUM – VAPEURS MORTELLES
de Mario Maiolo, Michèle-élisabeth Rochlin (Auteurs) – Editions Detrad – Mai 2025 – 240 pages
Au coeur d’un beau quartier de Paris, dans le hammam d’un club de sport, Adeline Le Clèves, propriétaire des lieux, fait face au spectacle macabre de deux corps nus enlacés : sa soeur Rébecca est étendue là, tuée avec son jeune amant. Après l’assassinat de son père, sénateur, survenu deux ans plus tôt et jamais élucidé, quel sort s’acharne sur les siens ? Suspectée par le commandant de police Salvo Camillèri chargé de l’affaire, Adeline décide alors de mener sa propre enquête et se retrouve confrontée à une mystérieuse et dangereuse organisation. Écrit à quatre mains, ce premier volume de la trilogie Malum et Bonum plonge le lecteur dans une aventure palpitante et pleine de rebondissements à la recherche de la vérité. Une quête qui va conduire Adeline, à travers la découverte d’un monde ésotérique, à des révélations ahurissantes sur ses origines familiales et à l’accomplissement de son destin.
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Dans un Paris feutré de mystères, « Malum et Bonum – Vapeurs mortelles » déploie l’itinéraire intérieur d’Adeline Le Clèves, dont la quête de vérité s’ouvre sur la découverte du cadavre de sa sœur, enlacée à son amant dans un hammam. Ce drame inaugural agit comme un seuil initiatique : la vapeur cache et révèle, l’enquête devient un chemin vers soi. À mesure que les fils se dénouent, c’est tout un monde ésotérique qui affleure, fait de mémoire familiale, d’héritage occulte et de secrets enfouis.
Dans cette œuvre écrite à quatre mains, Mario Maiolo donne au récit sa rigueur et sa musicalité ; Michèle-Élisabeth Rochlin, professeure de Lettres Classiques et initiée de la Grande Loge Féminine de France, y insuffle une symbolique discrète mais profonde.
Le roman, publié dans la collection « EnQuête Initiatique » dirigée par Didier Quiniou, conjugue polar et élévation : le Mal et le Bien y sont des forces en tension, non des jugements.
La Franc-Maçonnerie n’est jamais exposée, mais elle irrigue le texte de l’intérieur. En quête de lumière, Adeline devient l’initiée d’un Grand Œuvre personnel, nous rappelant que le chemin de vérité passe toujours par les ombres que l’on accepte de traverser.