Être Franc-Maçon, c’est être un amoureux de la Sagesse, de la Vertu, de la Justice, de l’Humanité.
Être franc-maçon, c’est être l’ami des pauvres, des malheureux qui souffrent, qui pleurent, qui ont faim ; qui appellent à la Loi, à la Justice et les utilisent comme seule norme de conduite, pour le bien de tous, leur croissance et leur progrès.
Être franc-maçon, c’est vouloir l’harmonie dans les familles, la concorde entre les peuples et la paix parmi les hommes.
Être franc-maçon, c’est répandre partout les splendeurs divines de l’instruction : éduquer pour le bien, l’intelligence ; concevoir les plus beaux idéaux de Loi, de Morale, d’Honneur et les pratiquer.
Être franc-maçon, c’est mettre en pratique ce plus beau précepte de tous les lieux et de tous les siècles, qui dit avec une infinie tendresse aux hommes de toutes races, du haut d’une croix et les bras ouverts au monde : « Aimez-vous les uns les autres, formez une seule famille, soyez frères. »
Être franc-maçon, c’est prêcher la tolérance ; pratiquer la charité sans distinction de race, de croyances ou d’opinions, c’est lutter contre l’hypocrisie et le fanatisme.
Être franc-maçon, c’est vivre pour la réalisation de la Paix Universelle, avoir pour les vivants le même respect que celui que nous vouons à nos morts.
Si vous ne remplissez pas ces conditions, éloignez-vous de la franc-maçonnerie.
Auteur inconnu
Même Dieu n’y est pas parvenu.