Le titre original du premier opus de la saga Harry Potter and the Philosopher’s Stone est une référence directe à l’alchimie, à l’ésotérisme et à l’hermétisme. L’alchimie est une science occulte du Moyen-Âge qui mêle des techniques chimiques à des spéculations d’ordre ésotérique.
Harry Potter et le secret des alchimistes : Lumos pour un Moldu
de Jean Pierre Quentin Bieck (Auteur), Théo Florens (Préface)
Celle-ci a pour but notamment d’obtenir la Pierre philosophale censée avoir le pouvoir de transmuer les métaux vils en Or pur et permet la fabrication de l’Élixir de longue vie.Dans son ensemble, l’œuvre des aventures de Harry Potter rappelle symboliquement aux lecteurs cette injonction «Connais-toi toi-même» apposée sur le frontispice du Temple de Delphes. Les sept parties de cette œuvre semblent faire écho à cette singulière quête d’identité qui paraît animer depuis toujours la nature humaine. Aussi, la magie apparaît comme l’art de la transformation. Cette transformation s’opère en chaque sorcier et sorcière animé par la magie. Elle est symbolique et intérieure.C’est avec beaucoup de souplesses et de précision que Jean Pierre Quentin Bieck dépeint dans cet ouvrage le tableau symbolique et alchimique de l’œuvre littéraire qui a sans doute eu le plus grand retentissement en ce début du XXIe siècle et a inspiré tout un univers artistique, notamment grâce à l’adaptation cinématographique.
