L’Association réparatrice Anti-Maçonnique était une confrérie qui vit le jour suite aux révélations faites par Jésus-Christ à une tertiaire franciscaine, Jeanne Baillet. Le 7 janvier 1875, Pie IX approuvait la fondation de l’Association Réparatrice à la Très Sainte Trinité et l’étendait aux fidèles, demandant à ceux-ci de se réunir trois par trois pour communier le même jour dans les mêmes buts aux fins de « détruire » les sociétés secrètes, dont la franc-maçonnerie.
La révélation était la suivante : « Je suis traduit devant les tribunaux, je suis jugé, condamné, livré à tous les supplices. Il ne leur reste plus que la mort à m’affliger…Je te parle de ces réunions secrètes (celles de la franc-maçonnerie) qui se tiennent en grand nombre et qui font la force du mal le plus ingénieux et le plus puissant pour détruire mon Eglise et tout ordre social…Ce que je désire, c’est que les bons prêtres, par l’offrande du très Saint Sacrifice de la Messe, fassent Réparation à la Très Sainte Trinité, des outrages qui lui sont faits dans ces réunions criminelles. Qu’ils s’unissent par trois pour honorer par cette union l’Adorable Trinité si indignement outragée. Par cette réparation, je m’engage à détruire les sociétés impies. »
A cet effet, l’article suivant :
– L’Association réparatrice Anti-Maçonnique sur le site « La Porte Latine«
