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Une franc-maçonnerie française en déroute…vue par un blog profane

Le blog « Remettre les choses en place » a publié un article intitulé « Une franc-Maçonnerie en déroute » faisant ainsi allusion à la crise que traverse actuellement et depuis déjà quelques temps, la Grande Loge Nationale Française. L’article est sobrement, n’apporte que peu d’éléments mais c’est une vue « profane » ….

Extrait :

La Grande Loge Nationale Française fut, avec 55,000 membres, la deuxième obédience maçonnique en France. Fut, car elle ne l’est plus tant la division règne dans ses rangs qui pousse des Frères à s’en détacher et même, comble des comble, à attaquer l’obédience et le Grand-Maître, François Stefani, en justice civile !

Elle était pourtant la seule obédience française reconnue par la « maçonnerie universelle » (comme disent les bons Frères), soit la Grande Loge Unie d’Angleterre, réputée pour son sérieux, son détachement des choses profanes et qui ne reconnaît pas n’importe qui, mais a l’élégance, très britannique, de ne pas se mêler de ce qui se passe hors de chez elle.

Les Anglais, excédés, l’ont suspendue. Quelle perte !

Las, les Français doivent être incorrigibles. Alors que les signes de reconnaissance des francs-maçons réguliers imposent de ne pas discuter de politique (ni de religion), les grands chefs à Paris ont placé leurs pions au sein du pouvoir et traficotés pour s’en rapprocher le plus possible.

En France, mais aussi l’Afrique de feu le Frère Bongo (entre autres potentats africains).

A Paris, le Grand-Maître Stefani aurait, d’après ce qu’on lui reproche, mis son obédience au service du pouvoir en place, soit Sarkozy en personne.

Le scandale est tel que des assemblées générales de l’obédience doivent être placées sous protection policière, invités contrôlés et soigneusement filtrés. Assemblées houleuses où fusent les noms d’oiseaux, pendant qu’au perchoir le Grand-Maître exclut à tour de bras …

Fraternité que de choses ne dit-on pas en ton nom ?

Consulter l’intégralité de l’article « Une franc-Maçonnerie en déroute« 


A.S.: