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Les politiques au Musée de la Franc-Maçonnerie…et alors ?

« L’Express » sous la plume de François Koch revient l’inauguration du Musée de la Franc-maçonnerie en soulignant la présence de nombreuses personnalités politique lors de cet évènement.

Habile manière de relancer le sujet délicat sur l’influence de la Franc-Maçonnerie en politique.

Source : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/des-politiques-en-franc-maconnerie_848158.html

Etaient présents l’ancien Premier ministre PS Laurent Fabius, le président PS de la Région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, la 1ère adjointe PS au Maire de Paris Anne Hidalgo et le président PS du Conseil général de Seine-Saint-Denis Claude Bartolone.

Le musée de la franc-maçonnerie a été inauguré ce mercredi au siège du Grand orient, rue Cadet à Paris, en présence plusieurs leaders socialistes.

Lorsqu’il a dévoilé la plaque et coupé le cordon d’accès au nouveau Musée de la franc-maçonnerie, Pierre Lambicchi, grand maître du Grand orient de France, la première obédience forte de 50 000 frères, était bien entouré. Etaient présents à l’inauguration, l’ancien Premier ministre PS Laurent Fabius, le président PS de la Région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, la 1ère adjointe PS au Maire de Paris Anne Hidalgo et le président PS du Conseil général de Seine-Saint-Denis Claude Bartolone.

Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture et de la Communication, s’est fait représenter par un directeur. La présence d’Huchon et d’Hidalgo était logique: ce nouveau lieu de culture se situe sur leur territoire. La présence de Bartolone, en voisin, peut s’expliquer. En revanche, celle du député de Seine-Maritime Fabius, arrivée en guest-star avec retard… laisse pantois. Bartolone comme Fabius n’ont d’ailleurs pas prononcé de discours, contrairement à Huchon et Hidalgo.

Comment interpréter leur participation à cette cérémonie? La pression de la campagne électorale des régionales ? La fraternelle et chaleureuse invitation de frères fabiusiens? Jean Tibéri, le maire UMP du Vème arrondissement de Paris, devait se sentir bien seul, au milieu d’une foule de frères et soeurs acclamant des édiles socialistes.

A.S.: