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Les Hauts Grades en Franc-Maçonnerie par Sophie Coignard

« Qui aime bien, châtie bien » dit-on …. et bien il convient d’avouer que Sophie Coignard nous aime voire même nous adule de la sorte pour une énième épisode toujours sur « Le Point » qui cette fois est consacré aux « Hauts Grades » en Franc-Maçonnerie.

A suivre …

Extrait :

Sans eux, la face de l’antimaçonnisme aurait été changée. Les « hauts grades » font fantasmer, depuis leur création, initiés et profanes. Au commencement, les frères ne connaissent que trois grades. Le nouveau venu est d’abord apprenti, tenu de se taire pendant une période probatoire à l’issue de laquelle il présente des travaux lui permettant de devenir compagnon. A ce deuxième degré, il a retrouvé la parole mais ne dispose pas encore de tous les droits. Impossible, par exemple, de prétendre à des responsabilités au sein de la loge. Il lui faudra encore patienter environ un an avant de devenir maître, autrement dit franc-maçon accompli.

L’ascension spirituelle est déjà terminée ? Pour éviter de se cogner à ce plafond de verre, des frères fondent dès la fin du XVIIIe siècle des  » ateliers supérieurs « , qui les confrontent à de nouveaux secrets, de nouvelles initiations, de nouvelles découvertes. Ils inventent des rituels empruntés à la chevalerie, aux Templiers et à l’univers biblique. Ainsi naît le Rite écossais ancien et accepté (REAA), qui compte trente degrés supplémentaires. D’autres apparaîtront par la suite, tel le Rite français et le Rite écossais rectifié.

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A.S.: