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La Franc-Maçonnerie dans l’affaire Carlton de Lille

L’éditorial « Nord Eclair« a publié un article sur l’affaire à rebondissement  et oh combien médiatique dite « Affaire du Carlton de Lille » : l’article débute de la sorte « Aux sources de l’affaire du Carlton, il y a une bande de copains. Tous amateurs de libertinage, et tous – ou presque – membres de réseaux maçonniques. »

Voilà les mots sont lachés et les clichés iront bon train sans aucun doute : Mais que font les francs-maçons dans leurs loges ?

Il y a les francs-maçons et la Franc-Maçonnerie : deux entités bel et bien différentes….Ne confondons pas tout et réduire cette affaire à une affaire de réseaux, notamment maçonnique serait assez réducteur n’est ce pas ?

Extrait :
Cette appartenance serait une des explications de la solidarité qui les lie tous ensemble. Jusqu’à un certain point…
Que peuvent avoir en commun le patron d’une entreprise lensoise de matériel médical, celui d’une filiale d’Eiffage, les dirigeants d’un hôtel de luxe, des policiers ou encore un avocat réputé ?

Il y a un certain penchant pour le libertinage. Et pour la majorité d’entre eux, la fréquentation de cercles maçonniques, comme ceux de la rue Thiers à Lille. Depuis le début de l’affaire, l’ombre du Grand Orient de France (GOF) plane au-dessus du dossier. Non que l’obédience maçonnique soit en cause(1) : tous les protagonistes du dossier n’en font pas partie, et la plupart de ses membres sont certainement étrangers à l’affaire. Mais dans l’édification des liens, cette appartenance semble avoir été un élément décisif. « L’affaire se situe clairement dans un contexte de copinage, de réseau » , confie une source proche du dossier. Les personnages cités dans l’instruction se connaissent bien. Plusieurs d’entre eux – dont « Dodo la saumure » – s’étaient d’ailleurs réunis, à l’automne 2009, au mariage d’Emmanuel Riglaire, l’avocat mis en examen.

Consulter l’intégralité de l’article « L’affaire Carlton, une histoire de réseaux« 

A.S.: