X

Guy Arcizet dans Grandes Ecoles Magazine

Guy Arcizet, Grand Maître du Grand Orient de France s’est prêté à un entretien avec le journal des Grandes Écoles « Grandes Écoles Magazine » N° 52 de Janvier 2012.

Il répond aux questions habituelles concernant la franc-maçonnerie (comment y entrer, les grades, le pourquoi du comment, etc..), l’élection présidentielle de 2012, la mondialisation, l’école républicaine, et la jeunesse…

Extrait :

Des réponses aux questions que vous vous posez…
« Pour un jeune, entrer en maçonnerie consiste à entreprendre une dimension réflexive qui n’existe nulle part ailleurs dans la société. Cette dimension est liée à l’histoire ainsi qu’au poids symbolique et même fantasmatique de l’institution. Notre méthode consiste à écouter dans le plus grand respect les différentes expressions. »

Le premier pas
Le Grand Orient accepte toute personne âgée de 18 ans. Le parrainage n’est pas obligatoire. Il suffit de faire une demande en envoyant une lettre de motivation au siège du GO au 16 rue Cadet 75009 Paris, assortie d’un CV classique. A la suite de cette demande, les impétrants, garçons ou filles, sont contactés pour un rendez-vous avec les loges maçonniques proches de chez eux afin d’engager le dialogue sur leurs motivations.

« L’initiation est issue de nos traditions trois fois séculaires »
Elle se présente comme une sorte de rituel dérivé de certains rituels religieux, en particulier de l’Eglise réformée au début du XVIIIième siècle. Les premiers maçons ont fondé l’institution en y ajoutant une touche personnelle symbolique. Le jour de son arrivée, l’impétrant doit déambuler dans la loge, ce qu’on appelle « les voyages initiatiques» dont la signification est simple. Ce rite de passage n’a rien de très ésotérique. Nous lui expliquons la différence d’avec le monde profane constitué par les non maçons et nous mêmes quand nous ne sommes pas en Tenue. L’initiation se poursuit ensuite de façon beaucoup plus approfondie dans la loge, chacun étant dans une quête à la fois personnelle mais aussi commune pour l’amélioration de la société.

 Lire la suite de l’interview


A.S.: