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GLNF : Réponse du photographe au Grand Maître

Le photographe, auteur des photographies prises à Pisan siège de la Grande Loge Nationale Française lors de certains évènements (voir ICI)  avait été « pris à parti » par François Stifani dans son courrier du 20 octobre 2011 (voir ICI) en insinuant je cite « un photographe professionnel, lui-même membre de la GLNF, passe toujours « par hasard » à ce moment là et prend des photos des « incidents») avant d’en faire commerce ; elle est particulièrement dommageable, à la pratique sereine et harmonieuse de nos rites maçonniques et à l’image de notre Grande Loge. »

Ce frère donc répond à François Stifani, sur son blog : http://masonic104.free.fr/indignes/intimidations.htm

Soutien à toi mon frère !

« Suite à la Brève du 20 octobre de Monsieur STIFANI, président démisionnaire de la GLNF,

Il est important de préciser les choses suivantes :

– Le photographe en question ne passe PAS par hasard, mais bien parce qu’il est dépêché par une Agence de Presse avec Accréditation à l’appui. Depuis des mois les Agissements de la GLNF et de Monsieur STIFANI, président démisionnaire de ladite Obédience, inquiète la presse et celle-ci s’en fait normalement l’ écho. Pour information, Monsieur STIFANI, vient d’assigner en justice pour diffamation le journal  » Franc-Maçonnerie Magazine « , pour avoir publié en son numéro 6 un entretien de Jacques Perret, passé GMP de la Grande Couronne (Versailles). (cf Article de F Koch, L’Express ici)

Depuis des mois, Monsieur STIFANI, président démisionnaire , essaie de museler les médias comme par exemple l’Express. Il est donc normal que la presse se fasse l’écho des graves soucis de la gouvernance de la GLNF.

– Quand au commerce, je crois que le Photographe n’a aucune leçon à recevoir de Monsieur STIFANI, président démisionnaire , de plus la distribution des photos pour les blogs fut des cessions gracieuses.

Quand aux relations que le photographe entretient avec son Agence de Presse, la rémunération est au forfait et non à la prise de vues.

J’ai dit« 

A.S.: