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GLDF : LA NÉCESSITÉ D’UN CONSEIL DE SURVEILLANCE

GLDF : LA NÉCESSITÉ D’UN CONSEIL DE SURVEILLANCE

Jamais depuis 2010 les Grands Maîtres n’ont autant été accusés d’être sous dépendance de marionnettistes du Suprême Conseil. Il suffit de consulter les blogs pour constater la présence d’articles et de commentaires, y compris les nôtres, pointant ce manque d’autonomie de la gouvernance de l’obédience vis à vis des hiérarques du SC qui veulent imposer leur chareaa à la vie des membres des loges bleues. Il y a une solution pour faire barrage à cette ingérence et être certain que les Grands Officiers agissent pour le bien de tous proposé le 25 janvier 2016, par un Frère au Grand Orateur de la GLDF. C’est  un projet de Conseil de Surveillance détaillé  annoncé par un  message qui débutait ainsi :

« Très Cher Frère Grand Orateur,

Comme convenu,  je t’adresse un projet de Conseil de Surveillance destiné à la GLDF qui vise à renforcer les pouvoirs des Frères et des Loges de la Grande Loge de France. Cet organe intègre également un moyen de protéger les Frères « lanceurs d’alerte » de sanctions pour leur liberté d’expression.

Cette construction d’un organe complémentaire à intégrer dans l’architecture globale du fonctionnement de l’obédience se justifie par la réalité vécue par la GLNF, la GL-AMF et la GLDF depuis 2010. 

C’est donc un renforcement de la DÉMOCRATIE au sein de la GLDF. »

Il recevait en retour, le jour même, cette note :

« Mon TCF,

J’accuse réception de ta contribution à l’amélioration de la gouvernance de l’Obédience, et de l’instauration d’une plus grande démocratie. J’en prendrai connaissance avec la plus grande attention et ne manquerai pas d’en tirer les leçons.

Bien à toi.

Frat :.

Pierre-Marie ADAM

C’est bien le GM actuel de la GLDF qui possède ce projet depuis plus de deux années. Le voici aux manettes en mesure de proposer aux Loges  une solution permettant « l’instauration d’une plus grande démocratie » comme il l’écrivait en janvier 2016.

Nous vous communiquons ci-après le document que possède donc le Grand Maître Adam. Il a le moyen de démentir ces vers qui suivent, sinon c’est lui qui rejoindra le néant de l’histoire de la GLDF.

                   Petits papillons d’un moment,

                   Invisibles marionnettes,

                   Qui volez si rapidement

                   De Polichinelle au néant,

                   Dites-moi donc ce que vous êtes.

Adieux à la vie (1778) de François Marie Arouet, dit Voltaire

PROJET DE CONSEIL DE SURVEILLANCE

 

PROJET  TRANSMIS AU FRÈRE GRAND ORATEUR DE LA GLDF

PRÉAMBULE

L’intégration d’un Conseil de Surveillance (CDS) dans l’architecture globale du fonctionnement  de l’obédience vise à rééquilibrer les pouvoirs entre les Loges et l’exécutif et  à rendre les Frères et les Loges plus directement acteurs impliqués dans la construction de leur histoire commune.

Le  CDS est un organe de pouvoirs des Frères et des Loges totalement indépendant du pouvoir exécutif. C’est l’ensemble, des frères qui délègue à ce CDS le contrôle de la régularité des décisions de l’exécutif.

L’action du CDS doit garantir aux Frères de la GLDF que les  Valeurs et Principes fondamentaux  de la Franc-Maçonnerie en général et de l’obédience en particuliers sont et seront totalement protégées en permanence.

Le CDS doit veiller au respect absolu par l’exécutif des Principes, de la Constitution et des Règlement Généraux de la GLDF, notamment lors de modifications règlementaires souhaitées par l’exécutif. Il doit veiller également au respect du Droit Commun qui s’applique aux membres de la GLDF car leur qualité de citoyen qui leur est attachée à vie l’emporte selon la LOI  sur leur qualité de maçon.

Le  CDS  doit être  le gage d’un fonctionnement harmonieux et vertueux  de l’obédience notamment sur la protection des droits des Frères et des Loges. Il doit être un barrage à toute ingérence d’institutions maçonniques ou non, qui  lui seraient statutairement étrangères.

Le CDS  doit permettre en toute liberté l’exercice du droit d’alerte par un  Frère ou une Loge. Il doit garantir, d’une part, qu’une réponse sera apportée au lanceur d’alerte et que, d’autre part, si la remarque est fondée, une correction sera  faite dans la partie de fonctionnement de l’obédience mise en cause.

Le CDS  s’appuie sur un Principe moderne très largement appliqué dans les entreprises qui veut que toute délégation de pouvoirs implique le contrôle et la sanction. Le CDS permet, grâce à cette surveillance permanente  des actes de l’exécutif, de prévenir de toutes défaillances et de toutes  dérives. Il peut également délivrer des conseils préventifs évitant les erreurs sur décisions à venir de l’exécutif.

Ce CDS doit agir avec célérité et rigueur afin d’empêcher  toute défaillance de l’exécutif et il doit informer les Frères et les Députés sans filtrage de ses communications.

 

1 – MISSION GÉNÉRALE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE

 

La mission fondamentale du CDS porte sur la surveillance permanente des actes de  l’exécutif  de toutes natures afin de vérifier si ont été respectés :

–  les Droits démocratiques des Frères de l’obédience, et de leurs instances parlementaires et du Conseil Fédéral ;

–   les Valeurs Fondamentales et les Principes Maçonniques de la GLDF et de la Franc-Maçonnerie et les textes règlementaires de l’obédience en vigueur ;

–   les lois françaises ;

–   la Souveraineté de la deuxième Puissance Maçonnique de France face aux pressions éventuelles de Puissances Maçonniques françaises et étrangères et de Juridictions des hauts grades françaises et étrangères ;

–  la séparation des pouvoirs entre exécutif et législatif, entre exécutif et judiciaire.

La surveillance du CDS couvre TOUS LES CHAMPS DE LA GESTION de l’obédience : administration, relations internationales, gestion financière et immobilière, rituels et administration judiciaire. Il est le garant à ce titre de l’équité des procédures judiciaires et de leur non opposition aux valeurs de l’obédience et aux lois françaises.

Toutes les commissions  chargées de contrôles et/ou de propositions lui sont rattachées. Il s’agit des Commissions CONVENTUELLES suivantes :

  • Commission du Patrimoine
  • Commission de contrôle des Finances
  • des Finances
  • Commission de modifications de la Constitution et des RG
  • Commission de modifications des rituels (revoir son organisation)
  • Commission des relations inter obédientielles et des relations publiques (à créer)

Le fonctionnement de ces Commissions est autonome mais ces Commissions  doivent rendre compte de leurs activités et alertes éventuelles au moins une fois par an au CDS, avant le Convent.

 

2 – COMPETENCES

Les compétences du CDS peuvent se ranger en trois  catégories :

 

1) – Compétences en matière de contrôle de la conformité aux valeurs, Principes et règles institutionnelles  de l’obédience (première mission fondamentale du CDS) et aux lois françaises

A ce titre le CDS  exerce des contrôles à priori et des contrôles à postériori

Contrôles a priori :

 

Le CDS est obligatoirement saisi sur tout texte devant être soumis aux votes des députés et particulièrement pour les textes de modifications des Principes, de la Constitution, des Règlements Généraux et les textes de projet d’accord avec des institutions maçonniques de toutes natures. En cas d’avis négatif les textes sont « retoqués ».et inapplicables.

Le CDS peut fournir des « conseils » sur la façon dont l’exécutif devrait formuler les textes afin qu’ils soient jugés « conformes ».

Le CDS doit obligatoirement être informé et donner un avis motivé sur les démarches de toutes natures avec des institutions maçonniques pouvant conduire la GLDF dans une action commune avec d’autres institutions (traité, conférence, accords administratifs). En cas d’avis négatif, le CDS en avise les Députés qui doivent être saisis de la question. Selon la même procédure il doit donner un avis sur :

–  les dossiers présentés pour une demande de double appartenance hors demande entrant dans une  convention bilatérale existante avec une obédience

–  les  demandes d’admission de Loges entières

– les invitations pour conférences de personnalités politiques ou religieuses

Contrôles a posteriori :

Un membre de la GLDF peut saisir le CDS et requérir son avis sur une disposition réglementaire déjà en cours ou une décision ponctuelle de l’exécutif  afin de vérifier sa « conformité » dans le cadre défini ci-dessus.

2) Compétences en matière de contrôles de la gestion financière et immobilière

Contrôles à priori

Le CDS  formule un avis sur le projet de budget avant que celui-ci ne soit soumis aux Députés. Il obtient au préalable l’avis de la Commission des Finances

Tous les actes, circulaires et notes traduisant, hors gestion courante, des décisions engageant l’obédience sans être soumis au préalable aux Députés, doivent faire l’objet d’une communication au CDS. En cas de non conformité ce dernier donne un avis défavorable motivé  qui renvoie l’élément contesté à l’appréciation des Députés. Si ce n’est pas le cas le document soumis est retourné au Conseil Fédéral avec la mention « vu » qui ne signifie aucunement un accord sur le fond.

Dans cadre doivent notamment faire l’objet d’une communication préalable au CDS :

  • les projets immobiliers de réfection ou de construction de locaux conduisant à un engagement de plus de 10000 euros (devis, dossier des fournisseurs, appel d’offres, maîtres d’œuvre,..)
  • les engagements financiers de toutes natures entraînant une dépense supérieure à 10000 euros

Contrôles a posteriori :

  • Un membre de la GLDF peut saisir le CDS et requérir son avis sur une décision ponctuelle de gestion prise par l’exécutif  afin de vérifier sa « conformité »

3) Compétences en matière de Justice

Administration judiciaire MAÇONNIQUE ordinaire

En cas de plaignant membre du pouvoir exécutif  pour une action envers un Frère ou une Loge, le dossier de plainte doit être examiné par le CDS afin de vérifier que cette plainte est conforme aux Droits des parties au vu tant des références de l’obédience que du Droit Commun. Ceci ne constitue un jugement sur le fond. En cas de « non conformité » la plainte est « retoquée ».

Administration judiciaire MAÇONNIQUE extraordinaire

En cas de détection de faits graves non conformes commis par un membre de l’exécutif, le CDS peut actionner la saisine  de la Justice maçonnique

Ceci implique au minimum que les Grands Officiers prêtent un serment lors de la prise en charge de leur fonction.

Le texte de serment devra être intégré dans les RG. Voici à titre de modèle un texte de serment :

« Je jure solennellement sur mon honneur et ma conscience que je montrerai loyauté et fidélité aux Frères et aux Loges qui composent la Grande Loge de France

Je m’engage à respecter la souveraineté des Loges

Je m’engage à respecter les Valeurs et les Principes de la GLDF, la Constitution, les RG.

Je m’engage à  défendre la Souveraineté de la GLDF contre tous types d’influence venant de  Puissances maçonniques ou de  de Juridictions des hauts grades

Je suis averti qu’en cas de manquement grave à mes engagements  je pourrais faire l’objet d’une sanction en Justice maçonnique ».

Administration judiciaire HORS CHAMP MAÇONNIQUE

En cas de décision de saisine de la justice française en tant que « GLDF-employeur » dans le cadre du Droit Commun ou Prud’hommal par exemple le CDS doit en être informé au préalable.

 

3 – COMPOSITION DU  CDS ET DES COMMISSIONS

Le CDS est composé de 2 membres par région.

Les membres sont des Députés élus pour trois ans non renouvelables. Le Conseil de Surveillance est renouvelé chaque année par tiers.

Le CDS élit son Président qui doit changer chaque année dans un mouvement tournant par région.

Les membres  du CDS et des Commissions qui lui sont rattachées ne peuvent être :

–  membres de l’exécutif ou anciens Grands Officiers ou anciens conseillers fédéraux

– disposer d’une double appartenance y compris avec le  SCDF

Les membres ne peuvent pas cumuler leur fonction avec celle de membres des commissions internes à la GLDF ou des organes de justice. Ils ne peuvent pas être salariés de l’obédience ou faire partie de ses prestataires de services.

 

4 – RÉUNIONS

Le CDS  se réunit au moins 4 fois par an sur convocation du Président  Une séance est obligatoirement consacrée à la préparation du Convent.

Un compte rendu de chaque réunion est établi puis consigné dans un registre des délibérations tenu à la disposition des Frères.

Le surcoût estimé de capitation de ces déplacements et de la gestion de ces réunions ne dépassera pas 1 euro de par année pour chaque membre de l’obédience.

 

5 – MÉTHODES DE TRAVAIL

Le CDS a des pouvoirs d’investigations. Il doit pouvoir accéder à tous les documents utiles pour ces contrôles. De la même façon il peut procéder à des audits. Il peut convoquer pour audition tout membre de l’exécutif dans le cadre de ses démarches d’études avant formulation d’avis.

 

6 – COMMUNICATIONS AUX DÉPUTÉS RÉUNIS EN CONVENT

Le Président du CDS doit obligatoirement communiquer en début de Convent :

  • le rapport d’activité du CDS
  • les enseignements tirés des analyses et investigations menées par le CDS et notamment les alertes qu’il souhaite adresser aux Députés pouvant également provenir des Commissions Conventuelles

En cas de situation d’alerte « grave » le CDS peut

–  intervenir lors de la TGL

–  doubler sa communication aux Députés en adressant une note directement aux Frères de la GLDF.

                                                                                  Janvier 2016


 

A.S.:

View Comments (5)

  • Chers Vabadus
    Tu décris une situation facheuse j'en conviens mais ton propos parle de la GL-AMF Obédience respectable mais dont je pense que sa posotion est très inconfortable car elle se situe hors Glnf et un peu en "doublon de la Gldf.Ce qui ne me permet ni commentaire,ni intervention car cela ne me regarde pas.
    Il en est de même du Suprême Conseil que tu évoques qui est celui de la Gl-amf..c'est à dire "Suprême Conseil POUR la France" établi en 1964 ou 5 par le Suprême Conseil des Pays-Bas et qui revendique une antériorité de 1804 qui est celle du Suprême Conseil DE France de qui fut issue la GLdF (rue Puteaux )..
    Pardon pour ces mentions mais on ne peut mélanger 4 organisations indépendantes.

    Je ne nie aucune influence mais nul besoin de titre pour parler entre frères et n'importe quel Vénérable a bien davantage de pouvoirs.
    "Infiltrés" et "Adeptes" me paraissent des termes forts,assez malavisés dans le contexte.Tu sembles donc considérer que tout Maçon des dits "Hauts Grades" (je n'aime pas non plus le terme mais il est d'usage)
    est un FM de mauvaise qualité indigne de confiance et de discernement,forcément à la botte de vieillards cacochymes et malveillants qui empèchent par tous les moyens les purs et sincères Maitres Maçons
    (et pas plus) de vivre une authentique,et initiatique vie maçonnique.C'est un avis que je ne partage pas.

    J'ai pu avoir des différents avec le SCdF, je lui suis resté fidèle car il ne s'agissait que des personnes pas de l'Organisation.Elle n'est pas parfaite ? tout le monde en convient mais jeter ainsi l'opprobre sur "la gouvernance" de la rue Puteaux ne grandit personne.

    Mes liens sont amicaux depuis des dizaines d'années avec des Conseillers Fédéraux et même Grands Maitres tout à fait indépendamment de leurs fonctions et le resteront.

    Cher Gascon.
    S'il y a une formule que j'ai toujours trouvée risible c'est bien "le Maçon libre dans une loge libre" titre oh combien magnifique dans l'idée et absolument hors sujet en ce qui nous concerne.Cela n'a jamais été "un des fondamentaux".La FM a toujours été fortement hiérarchisée.
    Nous adhérons dés notre réception à un système oligarchique,divisé en trois castes,et dont les dirigeants sont élus à des fonctions exorbitantes pour un an renouvelable.C'est simple, le Vénérable a tous les pouvoirs.
    C'est plutôt parce que de "simlples"Maitres Maçons veulent davantage et plus vite que se constituent les loges libres et des Sup Conseils, la faute n'en incombe pas à des Obédiences ou Juridictions comme celles de la rue Puteaux.Je connais un excellent frère qui a fondé 12 loges bleues!

    "Un peu d'air frais"? Mais ce n'est pas le rôle d'une société initiatique et ancienne.
    Je te rassure tout à fait, je ne subis aucune influence que je puisse discerner.J'écris comme je parle et, pour avoir eu un temps un étiquette de "violent" et quasi "d'agitateur" que je trouve aussi inxactes qu'amusantes et dont je me "f..."absolument,je trouve maintenant plaisant que sur des sites on me reproche le contraire.

    Ce qui me conforte c'est d'avoir fondé ou participé à des groupes auquels je suis fiers et content d'appartenir et d'avoir une modeste estime de la part de ceux que je fréquente.

    A Daniel Troublé.
    Il serait dommage que tu quittes notre Obédience,j'y sévis depuis quinze ans de plus que toi et je l'aime toujours.Qu'il puisse y avoir des notables,des apparatchiks n'est qu'un péripétie.Si davantage de frères
    dévoués et compétents pouvaient demander à participer à la gestion en tout genre serait certes un bien.

    Ne remets pas ,s'il te plait,cette fausse querelle de "la moitié, de l'humanité que nous rejeterions" sur le tapis.
    Ceux qui veulent la mixité ont des Obédiences pour cela,ceux qui veulent continuer comme la GLdF le fait depuis 1894 ont le droit de le faire également.C'est un faux débat.
    Ce n'est pas une évolution c'est un reniement.

    Je n'ai pas l'intention d'entamer un débat sur ces sujets,je me suis exprimé clairement me semble t'il.
    Bien à vous.

    .

  • Cher Luciole,
    Ce principe et cette constitution de CS (Conseil de Surveillance) résulte d’une analyse de ce qui se passe dans les obédiences notamment à la GL-AMF qui dispose d’un CS depuis la création de l’obédience après la crise de la GLNF. Pour se prémunir contre une aventure autocratique et mégalomane de type Stéfani, le CS donnait aux Frères une garantie de contrôle des actions de gouvernance d’autant plus à surveiller que cette gouvernance de la GL-AMF était sous domination du Suprême Conseil de la France pour le REAA. Mais dés le départ les prérogatives du CS furent sapées et l’institution fut in fine émasculée. On a vu ensuite une crise sans filets se développer à la GL-AMF à cause des hiérarques du REAA qui voulaient le pouvoir pour eux et pour eux seuls. Voilà pourquoi un CS ne doit pas contenir « D’INFILTRÉS » du REAA et donc d' ADEPTES du SCDF pour le CS de la GLDF. Ils casseraient le thermomètre pour qu’on ne puisse pas constater s’il y a de la fièvre.
    Je sais, cher Luciole, que depuis une éternité tu défends mordicus la GOUVERNANCE DE LA GL et que tu nies l’influence du SCDF. C’est ton droit. Il ne sert donc à rien que je t’invite à lire un article qui raconte comment a évolué le CS de la GL-AMF mais d’autres lecteurs pourront le faire pour mieux comprendre la nécessité pour TOUTE obédience de se doter d’un CS. À découvrir issu du blog Occitan:
    http://le-myosotis-occitan.over-blog.com/2017/09/conseil-de-surveillance-a-propos-du.html
    On peut notamment lire ceci dans cet article : « Cette liste de manipulations juridiques qui permet à la gouvernance de la GL-AMF de contourner et dénaturer nos statuts n’est pas exhaustive, mais elle suffit à mettre en évidence l’esprit détestable qui l’anime, et l’impéritie d’un Conseil de Surveillance « garant des statuts », mais réduit au silence. » fin de citation
    À bon entendeur Salut !

  • Mais non luciole, pas une "police de la pensée" mais pouvoir retrouver un des fondamentaux de la F.M. à savoir: "Un Maçon libre dans une Loge libre. Or depuis quelques temps une chape de plomb s'est posée sur la G.L.D.F. et les FF. vivent de plus en plus mal cette situation. Cette proposition, si elle était mise en œuvre pourrait apporter un peu d'air frais dans les Loges de cette obédience et retrouver ainsi leur indépendance perdue. Pourquoi, cher luciole, voyons nous depuis quelques mois non seulement augmenter le nombre de Loges Libres et Souveraines mais aussi la création de SC indépendants de tout obédience. Si chacun restait dans ce qui est sa mission, nous n'aurions pas toutes ces nouvelles initiatives maçonniques. Rassure moi, cher luciole, pour tes propos tu es libre de toute influence quelconque.

  • Maçon libre dans une Loge libre... que cela signifie t'il ?
    Ces histoires d'appareil sont aussi lamentables que celles des partis politiques et des syndicats. Où est la fraternité, la liberté ?
    Que les F.°. des loges bleues restent "droits dans leurs bottes" et que les apparatchiks barbotent entre eux.
    35 ans de maçonnerie au sein de la GLDF me guident vers une démission de cette obédience d'apparatchiks ostracisant la moitié du genre humain qui confondent Tradition et évolution... au XXIème siècle...

  • Une usine à gaz et une "police de la pensée" de plus, cette fois quasi officiellement anti SCdF.
    Si les loges faisaient leur travail de n'envoyer qu'un Député informé,travailleur et interessé par son rôle
    nous n'aurions besoin de rien de plus.
    Encore un titre et des pouvoirs supplémentaires mon TCF?