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Franc-Maçonnerie Féminine à Beaune

Denise Oberlin, Grande Maîtresse de la Grande Loge féminine de France (GLFF) a été interviewée par l’éditorial « Le Bien Public » à l’occasion de sa conférence à Beaune sur le thème « Moi ?! Femme et Franc-Maçonne ».

L’entretien porte tant sur le parcours maçonnique personnel de Denise Oberlin que sur la franc-maçonnerie féminine dans le monde, en France et particulièrement à Beaune où une loge de l’obédience est en cours de formation.

Extrait :

Comment êtes-vous parvenue au contact de la franc-maçonnerie et ­comment êtes-vous entrée ?

« Je suis sur ma 36 e année. Au début, il y a eu un ­concours de circonstances. C’est en discutant tout simplement avec mon médecin qu’il m’a proposé de rencontrer des gens intéressants. Cela s’est donc passé de façon très naturelle. Quand je suis devenue Grande Maîtresse de la GLFF, beaucoup de mes amis ont découvert cet aspect de ma vie qu’ils ignoraient. À ma connaissance, il n’y a pas d’autre franc-maçon dans ma famille. Au fil des années, j’ai fondé plusieurs ateliers en province, puis des loges dans les DOM-TOM. »

La franc-maçonnerie reste mystérieuse. Quel est le sens de votre démarche ?

« La Grande Loge féminine de France est initiatique et c’est une obédience féminine qui accueille des femmes de tous horizons et de toutes religions. Elles ­viennent pour réfléchir sur elles-mêmes. On est là pour réfléchir sur soi, pour se perfectionner et apprendre l’écoute et la tolérance. Pour cela, nous avons des outils de construction en main qui nous apprennent à se poser, à s’ouvrir, mais pas trop, comme un compas. On apprend à se frotter à d’autres religions et nationalités. »

Consulter l’intégralité de l’article « Beaune. Rencontre avec la Grande Maîtresse de la Grande Loge féminine de France« 


A.S.: