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ELECTION DU GRAND MAÎTRE DE LA GRANDE LOGE NATIONALE FRANCAISE

Voici un article du blog Le Myosotis du Dauphiné Savoie – Le Blog des Fidèles d’Amour – qui annonce que le vendredi 10 septembre prochain, le Souverain Grand Comité de la GLNF procèdera à l’élection de son Grand Maître.

Ainsi, une seule candidature a été enregistrée : celle de  Jean-Pierre Rollet, actuel Grand Maître, qui sollicite un deuxième mandat.


L’issue du vote des membres du S.’.G.’.C.’. est donc sans surprise, encore faudra-t-il qu’il soit ratifié par celui de la Grande Loge, c’est-à-dire par les délégués des Loges de la GLNF.

L’élection d’un Grand Maître est toujours un moment important, tant il est appelé à marquer les années de son – ou de ses – mandat(s) par sa personnalité, sa vision, son savoir maçonnique et profane, ses valeurs et enfin son projet.

A la GLNF plus encore que dans les autres obédiences, c’est avant tout une question de confiance. C’est elle qui fonde la légitimité du Grand Maître.

Ce système a fait ses preuves depuis plus d’un siècle, à l’exception – notable et récente – d’une douloureuse expérience. Celle-ci s’est du reste finalement révélée salutaire amenant à une révision des statuts et instaurant d’efficaces garde-fous.

Depuis, les Grands Maîtres ont disposé d’une écrasante confiance venant des Loges (Pour son premier mandat, le T.’.R.’.F.’. Jean-Pierre Rollet a été élu avec presque 97% des voix), et ont démontrés qu’elle était bien placée.

Même si en apparence l’opinion du rédacteur de ces lignes peut sembler partisane et le mode électoral fort peu démocratique, pour autant, il est salutaire que dans ce contexte, il n’y ait qu’une seule  candidature.

En effet, le préalable à cette annonce de candidature a été de répondre à la question de savoir, à la fois, qui peut être candidat et pourquoi il est candidat ?

Malgré l’expérience malheureuse évoquée plus haut et qui ne s’est produite qu’une seule fois en un siècle d’existence, la confiance doit rester le Maître mot dans l’Ordre maçonnique.

Toutefois celle-ci se mérite. Elle est le fruit d’un savoir-faire démontré.

En l’espèce, après le cataclysme qui avait frappé la GLNF, les voix – et les espoirs – se sont portés en 2012 vers le T.’.R.’.F.’. Jean-Pierre Servel dont la personne et l’intégrité faisaient une quasi-unanimité pour ceux qui le connaissaient, et dont la sensibilité maçonnique suscitait une immense espérance.

Et les Frères de la GLNF n’ont pas été déçus. Bien au contraire, son action a été couronnée de succès bien au-delà des espoirs les plus fous.

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A.S.: