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SYMBOLISME MAÇONNIQUE ET ALCHIMIE – PATRICK CARRÉ

Patrick Carré poète, philosophe, et Franc-Maçon vient sur GADLU.INFO nous offrir une chronique pour nous parler et donner du « sens », pour recentrer la réflexion sur les Maçons eux-mêmes. Sa signature est « Etre bien en soi-même, sans se déconnecter du chaos ambiant« .


Symbolisme maçonnique et Alchimie

Depuis le cabinet de réflexion où sont présents ses trois grands principes, le Mercure, le Soufre et le Sel, l’alchimie accompagne les Maçons durant toute leur vie initiatique. Ces trois principes semblent une goutte d’eau dans l’océan des symboles de leur renaissance, mais ils agissent à dose homéopathique et ne révèlent leurs principes actifs qu’aux Maçons engagés dans un travail d’introspection intense et soutenu. Car l’alchimie en franc-maçonnerie est avant tout spirituelle, et la transmutation des métaux est d’abord symbolique, en particulier celle du plomb en or. L’enjeu des transmutations spirituelles à opérer par les Maçons est essentiel, car il en va de la révélation et du déploiement en soi-même de leur être de lumière dans la pleine lumière de l’esprit.

L’initiation ayant allumé le feu de l’esprit dans son athanor, il revient à chaque initié(e) d’entretenir comme un alchimiste ce feu par un travail régulier sur des symboles de plus en plus complexes, comme on nourrît un feu de cheminée, d’abord avec du petit bois qui s’enflamme rapidement, puis des bûches épaisses beaucoup plus longues à se consumer. Ainsi, sous l’action du feu entretenu avec mesure par l’initié(e), les symboles en nombre limité des premiers tableaux de Loge en deux dimensions, d’abord séparés les uns des autres, tendent à se croiser ensuite et démultiplier leurs significations, développant, animant, et éclairant de l’intérieur un corps ou un espace symbolique en trois dimensions propre à chaque Maçon(ne). Il appartiendra à l’esprit, en son temps, d’habiter pleinement cet espace, en son cœur.

Dans la symbolique maçonnique, cet espace intérieur est d’abord le temple, inspiré par l’architecture de la Loge et celle du temple de Salomon. C’est dans cet espace que les Maçons en quête de lumière travaillent à la gloire du Grand Architecte de l’univers. La gloire qui est un halo de lumière apparaissant dans un nuage de gouttelettes d’eau, symbole dans la cabale juive d’un voile dissimulant en son sein la lumière de Dieu, est réduite en maçonnerie à une acclamation, presque à une invocation. Comme tous les symboles de lumière du temple maçonnique, la gloire éclaire régulièrement l’esprit et l’âme des Maçons au travail durant leurs voyages intérieurs entre l’Orient où rayonne le delta et l’Occident où s’élèvent les deux colonnes Jakin et Boaz.

« La lettre « H », ou du moins le caractère graphique qui lui est apparenté, dit Fulcanelli dans les Demeures Philosophales, a été choisi par les philosophes pour désigner l’esprit, âme universelle des choses, ou ce principe actif et tout-puissant que l’on reconnaît être, dans la nature, en perpétuel mouvement, en agissante vibration. C’est sur la forme de la lettre H que les constructeurs du moyen âge ont édifié les façades des cathédrales, temples glorificateurs de l’« esprit » divin, magnifiques interprètes des aspirations de l’âme humaine dans son essor vers le Créateur. Ce caractère correspond à l’êta (H), septième lettre de l’alphabet grec, initiale du verbe solaire, demeure de l’esprit, astre dispensateur de la lumière : « Ἥλιος, soleil ». C’est aussi le chef du prophète Elie, en grec « Ἠλἰας, solaire », que les Ecritures disent être monté au ciel, tel un pur esprit, dans un char de lumière et de feu. C’est encore le centre et le cœur de l’un des monogrammes du Christ : IHS, abréviation de « Iesus Hominum Salvator, Jésus Sauveur des Hommes » …

« C’est également ce signe qu’employaient les francs-maçons médiévaux pour désigner les deux colonnes du temple de Salomon, au pied desquelles les ouvriers recevaient leur salaire : Jakin et Boaz, colonnes dont les tours des églises métropolitaines ne sont que la traduction libre, mais hardie et puissante. C’est enfin l’indication du premier échelon de l’échelle des sages, « scala philosophorum », de la connaissance acquise de l’agent hermétique, promoteur mystérieux des transformations de la nature minérale, et celle du secret retrouvé de la « Parole perdue ». Cet agent était jadis désigné, entre les Adeptes, sous l’épithète d’« aimant » ou d’« attractif ». Le corps chargé de cet aimant s’appelait lui-même « Magnésie », et c’est lui, ce corps, qui servait d’intermédiaire « entre le ciel et la terre », se nourrissant des influences astrales, ou dynamisme céleste, qu’il transmettait à la substance passive, en les attirant à la manière d’un aimant véritable. » (Fulcanelli, Les Demeures Philosophales)

Les Maçons travaillent à devenir cet « aimant » attirant l’esprit, en Loge où l’esprit fraternel des travaux prédispose chacun(e) à s’ouvrir aux influences positives, et en eux-mêmes en s’ouvrant aux idées dont les symboles parsèment les tableaux et les rituels. Les présidents des Loges font ainsi circuler la parole par la lecture des rituels et durant les travaux entre les deux colonnes, les deux vallées, les deux camps, afin d’en croiser les traits d’esprit et d’en faire jaillir des étincelles de lumière. Le grand symbole de cette lumière étincelante est « la lettre grecque X (khi), initiale des mots χώνη, χρυσός, et χρόνος, le creuset, l’or et le temps, triple inconnue du Grand Œuvre. La croix de Saint-André (χίασμα), qui a la forme de notre X français, est l’hiéroglyphe, réduit à sa plus simple expression, des radiations lumineuses et divergentes émanées d’un foyer unique. Elle apparaît donc comme le graphique de l’étincelle… Le X est l’emblème de la mesure, prise dans toutes ses acceptions : dimension, étendue, espace, durée, règle, loi, borne ou limite. » (Fulcanelli, Les Demeures Philosophales)

X, symbole mathématique d’une inconnue à calculer, mesurer, dans une équation à résoudre, est aussi le signe de la multiplication et de la puissance des nombres, et en maçonnerie où l’âge des Maçons est symbolisé par des nombres, X mesure à la fois le travail accompli pour se perfectionner et le résultat de ce travail. C’est ainsi que l’âge des Maçons dans les degrés de Perfection se calcule par puissances et multiples des nombres 3, 5, et 7, le plus souvent par des puissances du nombre 3 : 31 = 3 (3 ans), 3²= 9 (9 ans), 33 = 27 (27 ans), 34 = 81 (81 ans), où 3² = 9 s’intègre dans un plan à deux dimensions et préfigure un volume à trois dimensions, 33 = 27, le « cube » de trois ou « la pierre cubique » d’un édifice élevé « en puissance » à la gloire du Grand Architecte de l’Univers et destiné à l’accueillir.

Les nombres sortent des catalogues où ils sont classés par ordre croissant pour investir, animer et illustrer la vie initiatique des Maçons, donner du sens et structurer leurs espaces et leurs temps de travail, en devenant les témoins et les acteurs de belles rencontres sur le chemin de l’initiation. Car les nombres possèdent comme tous les symboles une identité propre, comme l’enseigne Pythagore, et il revient à chaque Maçon(e), d’animer leurs figures immobiles par des mouvements imaginaires inspirés de leurs formes et de leurs tracés. « Le Nombre, dit Roger Begey dans La quadrature du cercle, est lié à l’esprit qui anime toute représentation formelle, c’est lui qui donne vie aux divers éléments de sa formation et les lie entre eux. Bien entendu, le Nombre n’a aucun rapport avec le chiffre. Il ne sert pas à compter, à dénombrer des composants. Il n’appartient pas au monde du quantitatif, un peu à celui du qualitatif, mais ce n’est pas là sa fonction essentielle. Il appartient au « monde principiel » et, en tant que tel, il est le mode d’expression le plus proche de la réalité du Verbe. »

Les puissances des nombres symbolisent surtout parfaitement les modalités du perfectionnement initiatique procédant par sauts de conscience immédiats et puissants, semblables aux sauts quantiques d’électrons entre deux niveaux d’énergie. « Lorsqu’un électron, dit Alain Boudet sur son site internet Spiritualité, Science et Développement, saute d’une orbite à l’autre, il n’y va pas comme un oiseau saute d’une branche à une autre, avec une trajectoire que l’on peut suivre et qui a une durée. L’électron est à un niveau et instantanément il se retrouve transporté à l’autre niveau, sans parcours entre les deux, par une sorte de dématérialisation et de « re-matérialisation » immédiate. C’est ce qu’on nomme un saut quantique. Et l’instant où a lieu le saut d’un électron d’une orbite à une autre est indéterminé. On ne peut en donner qu’une probabilité pour un instant donné. »

Comme les sauts quantiques des électrons, les prises de conscience des Maçons s’effectuent en puissance et touchent aux racines de la conscience. Alors, symboliquement, aux puissances des nombres : 3² (= 9), 33 (= 27), répondent les racines : √²9 = 3, √327 = 3 …, essence et nourriture de la connaissance et de la conscience à leurs différents niveaux, car l’essence du Nombre est incluse en sa racine. « L’importance de celle-ci doit être tout particulièrement soulignée, parce que c’est elle qui confère la puissance de génération. La racine de la plante puise au sein de la terre les principes de vie qu’elle recèle. De même, la racine du Nombre recueille, en la secrète fonction de celui-ci, l’essence de nature principielle qui l’anime. Bien nommée, elle est ce qui fait croître, ce qui génère les divers développements des formes révélatrices. » (Roger Begey, La quadrature du cercle)

Ce symbolisme maçonnique des puissances et des racines des nombres sert de modèle au tracé de l’échelle mystique, dont les barreaux sont d’abord éloignés du sol d’une unité de mesure = 1, puis de √2 = 1,41, puis de √3 = 1,73, de √4, √5, √6, √7, √8, √9. Ces mesures s’obtiennent en traçant un carré de côté 1 et sa diagonale √2, puis en ouvrant un compas de la dimension de la diagonale et en traçant l’arc de cercle reliant l’extrémité de la diagonale à l’autre côté du carré qu’il surmonte. Le tracé donne ainsi le niveau du deuxième barreau de l’échelle, et ainsi de suite en mesurant les diagonales successives des rectangles surmontant le carré originel de la construction.

« Dans √2, √3, √5, etc. se trouve le principe vital créateur des divers champs de manifestation formelle. Par exemple, on voit que dans le carré la diagonale représente √2. Nous ne sommes pas là en présence d’une mesure, mais d’une puissance de création d’une nouvelle modalité d’être. Le rectangle de longueur « √2 » et de largeur « 1 » engendre, par sa diagonale, la fonction « √3 ». Autrement dit, lorsque l’unité est mise en rapport avec l’essence de la dualité (√2), l’essence de la ternarité apparaît obligatoirement. » (Roger Begey, La quadrature du cercle)

L’âme des Maçons se nourrît ainsi des « racines » du Principe à mesure qu’elle s’élève en s’inspirant des racines des nombres, et l’ouverture du compas « marque » sa progression sur une échelle des essences de plus en plus subtiles où se succèdent les nombres irrationnels : √2, √3, √4, √5, √6, √7, √8, √9, et où « conjointement » transparaissent les nombres entiers 1, 2 (ou √4), et 3 (ou √9), gradations premières de la règle. D’un côté les nombres entiers rationnels, de l’autre les nombres irrationnels. Une fois établie en conscience cette dichotomie puissamment active, la diagonale « √2 » du carré ne « marque » plus seulement le passage du « rationnel » à l’« irrationnel », mais leur jonction au sens alchimique du terme, la « conjonction » de l’âme avec le corps, le moment où « la matière parvient au blanc ».

Les alchimistes parlent de réductions successives pour illustrer les phases de transformations et transmutations régulières des métaux durant l’Œuvre au blanc, comme les Maçons géomètres parlent de leurs travaux réguliers, c’est-à-dire à la fois périodiques dans le temps et réguliers selon la règle, une régularité nécessaire à leur perfectionnement symbolique par degrés. Les Maçons se réfèrent à Tubalcaïn, l’ancêtre des forgerons du fer et de l’airain, pour travailler des métaux que les alchimistes transforment dans un ordre précis symbolisé par les planètes et les couleurs de l’œuvre : le plomb, Saturne et le noir, puis l’étain, Jupiter et le gris, puis l’argent, la Lune et le blanc, puis le cuivre, Vénus et le jaune-rougeâtre, puis le fer, mars et la rouille, et enfin l’or, le Soleil et le pourpre. La couleur pourpre culmine dans l’Œuvre au blanc et précède l’Œuvre au rouge, comme elle préfigure dans le R.E.A.A. et d’autres Rites le passage des degrés de Perfection à ceux du Chapitre.

Dom Pernety définit ainsi la réduction dans son Dictionnaire Mytho-Hermétique : « Rétrogradation(s) d’une chose parvenue à un certain « degré » de perfection, à un degré qui l’est moins, comme si avec du pain on faisait du grain de froment. Ainsi la « réduction » des « métaux » en leur première matière, si recommandée par les Philosophes (autre nom des alchimistes), est la rétrogradation des métaux philosophiques, et non vulgaires, en leur propre semence, c’est-à-dire en mercure hermétique. Cette réduction s’appelle aussi « réincrudation », et se fait par la dissolution du fixe par le volatil de sa propre nature, et duquel il a été fait… Volatil est dit de ce qui vole, qui s’élève en haut, qui se sublime au haut du vase dans la distillation, ou qui s’évapore par l’action du feu commun, ou du feu inné dans la matière, cause de la fermentation. On dit volatil par comparaison avec les oiseaux…

« Les Philosophes ont pris assez ordinairement les oiseaux pour symboles des parties volatiles de la matière du grand œuvre, et ont donné divers noms d’oiseaux à leur mercure ; tantôt c’est un aigle, tantôt un corbeau, un cygne, un paon, un phénix, un pélican (symboles maçonniques des Rites à différents degrés, du R.E.A.A. en particulier) ; et tous ces noms conviennent à la matière de l’Art, suivant les différences de couleur ou d’état qu’elle éprouve dans le cours des opérations… Quand les Philosophes ont voulu désigner la volatilité et l’action du mercure dissolvant sur la partie fixe, ils l’ont appelé aigle, vautour, parce que ce sont des oiseaux forts et carnassiers… C’est l’aigle qui doit combattre le lion, suivant Basile Valentin et les autres Adeptes. La putréfaction est exprimée par ce combat, auquel succède la mort de ces deux adversaires. La noirceur étant une suite de la putréfaction, ils ont dit que des deux corps des deux combattants il naissait un corbeau ; tant parce que cet oiseau est noir, que parce qu’il se repaît des corps morts. A la noirceur succèdent les couleurs variées de l’arc-en-ciel. On a dit en conséquence que le corbeau était changé en un cygne, un paon, à cause des mêmes couleurs qui se font admirer sur la queue de cet animal. Vient ensuite la blancheur, qui ne pouvait être mieux exprimée que par le cygne. La rougeur de pavot qui succède, a donné lieu d’imaginer le phénix, qu’on dit être rouge, parce que son nom même exprime cette couleur (du grec ancien φοῖνιξ, phoînix, pourpre). » ( Dom Pernety en 1758 dans son Dictionnaire Mytho-Hermétique)

De même, les natures volatile et fixe des Francs-Maçons alchimistes, symbolisées par deux triangles pointes en haut et pointe en bas, dissociées d’abord l’une et l’autre dans le chaos primitif de l’œuvre au noir, s’affrontent en combats réguliers dans l’œuvre au blanc avant de faire alliance et superposer symboliquement leurs deux triangles en formant un hexagramme aux noms divers : étoile de David, sceau de Salomon, talisman de Saturne. Cette étoile en deux dimensions est surtout le symbole d’un cristal en trois dimensions, composé de deux tétraèdres imbriqués parfaitement l’un dans l’autre, le « merkaba » des traditions égyptienne, juive et tibétaine. Avec le merkaba, c’est tout un état d’être, de connaissance et de conscience, qui investit l’initié(e) en lui conférant un degré de plénitude et de bien-être inégalé, embrassant et embrasant sa vie temporelle et spirituelle dans une perception et une aperception holistique.

Le chemin parcouru depuis le premier degré des Rites maçonniques peut ainsi s’éclairer d’un jour nouveau, et donner un sens renouvelé, non seulement aux symboles, mais à la méthode de transmission des connaissances par les questions-réponses des livrets remis aux Maçons durant leur parcours. Car les rayonnements de l’initié(e)-merkaba débordent largement du cercle du Maître, et ses rayons de conscience peuvent interroger toute la Nature qui lui répond, ses connaissances passant ainsi des jeux des questions-réponses symboliques et élémentaires, aux connaissances acquises méritées et aux prises de conscience d’un être responsable de sa destinée, s’interrogeant lui-même pour bien « se conduire », aux sens physique, moral, mental et spirituel de ce verbe.

Pourtant l’être-merkaba n’est pas seul dans cette dimension embrassant et embrasant toute sa vie, et les alchimistes veillent à ne pas confondre durant l’Œuvre ce qu’ils nomment les poids de l’art, relevant des mesures et pesées de l’alchimiste, et le poids de nature relatif au temps sacré de l’œuvre dont il n’a pas la maîtrise. « Les poids de l’art sont applicables exclusivement aux corps distincts, susceptibles d’être pesés, tandis que le poids de nature se réfère aux proportions relatives des composants d’un corps donné (comme celle du soufre et du mercure principes unis dans le mercure philosophique, le dissolvant universel) et c’est le poids de nature qui est alors considéré… Si les poids de l’art sont connus de l’artiste et rigoureusement déterminés par lui, en revanche le poids de nature est toujours ignoré, même des plus grands maîtres. C’est là un mystère qui relève de Dieu seul (ou du Grand Architecte de l’Univers) et dont l’intelligence demeure inaccessible à l’homme. » (Fulcanelli, Les Demeures Philosophales)

Le travail sur la Pierre des Maçons géomètres prépare ainsi la naissance de la Pierre des Maçons alchimistes et le succès de l’Œuvre Hermétique, à moins qu’à l’inverse le regard de l’alchimiste n’inspire les tracés du géomètre. Dans les deux cas les Maçons travaillent également à se transformer eux-mêmes, à se perfectionner pour accompagner en conscience l’œuvre en cours, non seulement en donnant le meilleur d’eux-mêmes, mais en se projetant véritablement en esprit dans l’œuvre en cours. Ils donnent ensemble une saveur particulière à leur vie, un « parfum » subtil de joie à leur raison d’être, quand s’éclairent mutuellement les réalisations du géomètre et l’œuvre de l’alchimiste.

Patrick Carré


Patrick Carré, né le 14 janvier 1953, est poète, philosophe, et Franc-Maçon français. Son œuvre littéraire et artistique comprend un nombre considérable de poèmes et de textes philosophiques principalement sur l’Initiation Traditionnelle à la vie spirituelle.

Initié à 23 ans à la Grande Loge de France, il est membre de la Juridiction du Suprême Conseil de France, de Rite Ecossais Ancien et Accepté. Il est membre de la Loge Art Royal, Grande Loge de France, à Versailles.

Diplômé de Philosophie (Faculté de Rennes), de Gestion (IGR et Enass), d’Arts Plastiques (Institut Van der Kelen-Logelain à Bruxelles et CAP de potier tourneur).

Son site internet « Patrick Carré Poésie » http://www.patrick-carre-poesie.net/  de 1000 pages, premier site de langue française d’études et de poèmes d’un Franc-Maçon avec plus de 800.000 visiteurs, concentre ses travaux et recherches sur l’Initiation Maçonnique, en particulier tous les degrés du Rite Ecossais Ancien et Accepté (REAA), symbolisant l’Œuvre alchimique de perfectionnement et de transformation intérieure des Maçons.

« Devenir Franc-Maçon et Membre de la Loge ART ROYAL » avec le lien http://www.patrick-carre-poesie.net/spip.php?page=devenir-membre

Livres et disque

  • Livre « Francs-Maçons Alchimistes » (2015) (Editeur LiberFaber http://liberfaber.com/fr/accueil.html )
  • CD « Le Flambeau » (incluant le recueil des 12 poèmes) (2013)
  • Livre « Cathédrales » (2006)
  • Livre « La Femme Chair, Cœur, Esprit » (2006)

Conférences

  • Pensée symbolique et pensée sensible, illustrées par Dürer
  • La pensée symbolique
  • La Femme et la mixité en Franc-Maçonnerie
  • La poésie en Franc-Maçonnerie
  • L’univers du potier tourneur
  • Le vitrail alchimique de la Cathédrale d’Orléans

Membre aux USA de la Masonry Poetry Society ( http://www.mpoets.org/ProceedingsNo7.htm )

Lauréat France Musique Contes du jour et de la nuit (émission du 12/06/2014) ( http://www.francemusique.fr/emission/contes-du-jour-et-de-la-nuit/2013-2014/selection-france-2-du-4e-appel-ecriture-patrick-carre-5-5-06-12-2014-00-00 )


A.S.:

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  • Merci à Patrick Carré pour cette communication très instructive et partagée.
    FRATERNITE