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L’ETOILE FLAMBOYANTE OU LA RECHERCHE D’UNE PAROLE PERDUE


Ou la recherche d’une parole perdue

L’étoile à cinq branches représente l’homme, mais pas n’importe quel homme. L’homme harmonieux, l’homme lumineux . l’homme accompli est celui qui s’est structuré sur la proportion dorée, en sa relation juste avec le cosmos.

L’étoile flamboyante ou la recherche d’une parole perdue

de Jacques Trescases (Editions Dervy – 284 pages )

Par ses cinq sens, il en perçoit l’harmonie et, par son esprit, il contribue à l’harmonisation de l’univers. Cette interprétation confirme le rôle biblique idéal de l’étoile guide. L’étoile flamboyante est décrite dans certains textes comme centre d’où part la vraie lumière. Elle préfigure ainsi l’idée de retour au centre qui est la raison d’être de tout cheminement initiatique. L’étoile n’est parfaite et n’arrive à son apogée que lorsqu’elle flamboie, c’est-à-dire qu’elle devient suffisamment lumineuse pour éclairer le monde de son rayonnement. Cette source de lumière visible, dont chaque compagnon doit être un porteur rayonnant, est le fruit du travail intérieur de l’initié qui accède à l’état d’être régénéré, médiateur entre ciel et terre.


A.S.:

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  • L'Étoile Flamboyante : « Aujourd'hui cinq pointes, initialement cette étoile était à six pointes, évoquant aussi bien l'Isthar assyrienne que l'Astarté phénicienne, ou Vénus, la « Stella Vespertina. » (R. Ambelain, La Franc-Maçonnerie oubliée)
    Pour faire comprendre la réaction spirituelle que la sexualité produit chez la femme, on représente l'esprit par une étoile : l'Etoile Flamboyante, au milieu de laquelle se trouve la lettre G, « ghimel » en hébreu. Cette lettre, écrit René Guénon, représente le principe divin qui réside dans le « Cœur » de l’homme « deux fois né ».
    Cette lettre est la première du mot qui indique le sexe féminin dans une multitude de langues. Cette lettre, suivant les idiomes différents, est C, G, K, Q, X.
    Parmi les noms du sexe féminin qu'une de ces lettres commence, citons « Gunè », femme en grec, « Graal », Vase sacré (sexe) en celtique, « Qvina », femme en suédois, « Queen », reine en breton ; en sanscrit, « Ga » signifie être creux, envelopper, contenir. En annamite (aujourd'hui le Viêt Nam) et dans l'Afrique centrale, « Ghé » exprime l'idée de cavité, de vase, de récipient.
    Dans les Mystères antiques, on expliquait pourquoi elle est la super-âme, l'Un suprême appelé « Guhya », ou « Secret ». On trouve en hébreu le mot « Ghilloulim », et en latin « Guttin », vase à boire.
    Quand vint la période de réaction, on altéra les mots, on changea leur signification ; quelquefois on les retournait.
    C'est ainsi que de Ghimel on fit « Melchi », comme de Carmel on faisait « Melkart ».
    Et comme les initiés étaient appelés « Tsedek », on appela les apôtres du dogme féminin « Melchi-Tsedek » (Melchissédec).
    NB : Il ne faut pas confondre Maçonnerie moderne dite « spéculative », issue de la rédaction des Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre publiées en 1723, et Maçonnerie ancienne dite « Opérative » qui trouve son origine dans les « Mystères », c'est-à-dire dans un enseignement donné dans le secret pour continuer à expliquer les lois de la Nature.
    Lorsque certains régimes totalitaires interdirent la Franc-Maçonnerie c'est l'« Opérative » qui était visée et non la « spéculative », car ces régimes ne lui pardonnent pas d’enseigner les moyens de penser et d’agir librement.
    Les anciens historiens s'accordent tous à montrer dans quelle vénération et quel respect étaient tenus les Mystères.
    En Grèce, Plutarque rapporte qu'Alcibiade fut traduit en justice pour sacrilège parce qu'il avait, en compagnie d'amis, imité les Mystères d'Éleusis.
    Précisons que l'initié, dans les Mystères, devenait un autre homme, un homme régénéré, et prenait un autre nom, en même temps qu'il s'intitulait « Mâo Soon » qui, en grec, signifie : « Je cherche ce qui est sûr », c'est-à-dire la Vérité.
    C'est de ces 2 mots « Mâo Soon » qu'on fera plus tard « Maçon ». Maçonnerie viendrait de « Mesouraneo » (Je suis au milieu du ciel).
    Origine de la Maçonnerie « Opérative » : Au Chapitre 23 verset 5 du second livre de Samuel, il est dit : « Il n'en était pas ainsi de ma maison ; mais Elle m'a établi dans une alliance éternelle, bien ordonnée, et ferme en toutes choses. Elle est toute ma délivrance et tout mon plaisir, et ne fera t-elle pas fleurir ma maison ? »
    L'alliance éternelle et bien ordonnée dont parle le verset 5 fait allusion à la fondation d'une immense fraternité secrète qui a été éternelle en effet, puisqu'elle est devenue la Franc-Maçonnerie.
    La Franc-Maçonnerie est d’origine hébraïque (les Mystères de Jérusalem), tous les mots de passe sont des vocables hébreux, ses légendes sont tirées de l’histoire du peuple d’Israël.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/delisraelismeaujudaisme.html