Jules Boucher préconise un mélange de trois partie d’oliban (résine issue du Boswelia, arbre qui poussait au Liban), deux parties de myrrhe et une partie de benjoin.
La combustion du mélange odoriférant s’effectue dans une cassolette dou brûle-parfum. Jules Boucher ajoute que « ces fumigations sont…l’adjuvant indispensable des cérémonies maçonniques auxquelles ils viennent donner cette note « sacrée » qui doit régner dans les Temples« .
Notons qu’elles sont également de règle dans la plupart des Hauts-Grades.