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Guy Arcizet : médecin et franc-maçon

L’éditorial web « Le Généraliste » publie un article sur Guy ARCIZET, Grand Maître du Grand Orient de France.

L’article intitulé « Guy Arcizet, de la blouse blanche au tablier » est un résumé du cursus de l’homme et du médecin généraliste qu’il est, ainsi qu’un entretien avec l’intéressé.

Cet article de la presse médicale est fortement intéressant et nous présente un homme qui  « estime que les deux engagements (médecine et franc-maçonnerie) ne sont pas si étrangers l’un à l’autre.« 

Source : http://www.legeneraliste.fr/layout/Rub_ACTU.cfm?espace=ACTU&id_rubrique=101850&id_article=26970

Comment devient-on franc-maçon ? Pour Guy Arcizet, après vingt ans d’exercice de la médecine générale, c’est un patient qui est venu le chercher : « Avec le discours que vous tenez sur la société, je ne comprends pas pourquoi vous n’êtes pas franc-maçon… ». Et c’est comme ça que cet ancien généraliste de Bagnolet a revêtu le tablier un jour de 1986 : « À l’époque, les institutions ne m’inspiraient guère et a priori le rituel maçonnique non plus. Je suis quand même allé voir… Et j’y suis toujours, 25 ans plus tard… » explique, calme et souriant, le nouveau Grand Maître du Grand Orient de France, élu le 2 septembre dernier lors du convent de Vichy. L’histoire tient un peu de l’anecdote. Mais pas seulement, puisque le praticien s’interroge encore : « Serais-je devenu franc-maçon si je n’avais pas été généraliste ? Ce n’est pas sûr… »

Il faut dire que même s’il confesse avoir opté un peu par hasard pour la discipline, c’est à la médecine générale que le Dr Arcizet doit sa fibre sociale et un intérêt pour des questions de société qu’il place au centre de son engagement maçonnique. Et d’ailleurs à 71 ans, l’homme n’est-il pas resté banlieusard dans l’âme (il habite une cité à Rosny-sous-Bois) et quelque part toujours généraliste, cinq ans après avoir pris sa retraite ? « Ce qui m’a le plus touché lors de mon élection, c’est de recevoir ces messages de mes patients qui m’ont téléphoné pour me dire leur reconnaissance. Ça c’est une vraie reconnaissance, plus encore que celle de mes frères. »

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A.S.: