X

GUSTAVE MESUREUR :  » On entre en Franc-maçonnerie pour la servir, et non pour se servir. »

C’est au travers d’un quizz sur le compte officiel Intagram de la Grande Loge de France (GLDF) ( voir lien ici) que nous avons découvert une récente émission de Divers Aspects de la pensée Contemporaine sur France Culture consacré en décembre 2020à :

Gustave Mesureur, un ancien Grand Maitre engagé dans l’Obédience et dans la Cité

Qui était Gustave Mesureur ? Pourquoi peut-on dire de lui qu’il compte au nombre des « grandes figures » ? Et pas seulement de la Franc-Maçonnerie, ni seulement pour la GLDF, mais dans l’histoire de notre pays, par les fonctions publiques éminentes qu’il a occupées et ce qu’il réalisa, pour le bien commun, au service de tous, et pour son héritage encore présent.

En particulier comme directeur de l’Assistance publique de Paris, où il consacrera dix années de sa vie à œuvrer à son développement et à sa modernisation d’une manière exceptionnelle.

Au-delà de l’union qui fait la force, Gustave Mesureur prônait une démarche solidaire, et au-delà de l’entraide, la force de la transformation sociale au bénéfice du plus grand nombre, de ceux qui en ont le plus besoin… 

Son engagement maçonnique rejoint l’idéal de perfectionnement moral et matériel, intellectuel et spirituel de l’humanité, de la société, poursuivi par la Grande Loge de France.

On entre en Franc-maçonnerie pour la servir, et non pour se servir.

La devise de Gustave Mesureur est reprise dans la médaille qui est remise à chaque nouvel entrant dans la loge.


A.S.:

View Comments (1)

  • "On entre en Franc-maçonnerie pour la servir, et non pour se servir."
    Faux ! On entre en Franc-maçonnerie pour servir les idéaux de la Franc-maçonnerie, et non pour servir la Franc-maçonnerie.
    De même qu’on entre dans l’armée pour servir son pays et non pour servir l’armée, dans la prêtrise pour servir Dieu et non pour servir son église.
    La dérive sectaire est à l’affût quand une personne s’engage à servir une institution, une organisation, ou, pire encore, les personnes qui dirigent cette institution ou cette organisation, ou quand une institution juge des mérites d’une personne en fonction des services qu’elle lui rend plutôt que des services qu’elle rend à la communauté.