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Espagne : Le jour de la Femme soutenu par la Franc-Maçonnerie féminine et mixte

La Fédération Espagnol de l’Ordre Mixte International  » Le Droit Humain » a publié un communiqué à l’occasion de la Journée Internationale des Droits de la Femme du 08 mars 2014 et de la manifestation organisée le même jour à Madrid. Un défilé qui se voulait avant tout opposé à la réforme de la loi sur l’avortement. (A noter que la Grande Loge Féminine d’Espagne (GLFE) était également présente lors de cette manifestation.)

Ce communiqué intervient en soutien aux droits de la femme et dans le contexte du projet de réforme du droit à l’avortement, approuvé par le Conseil des Ministres espagnol en décembre 2013.

Cette réforme avait donnée lieu à la publication d’un manifeste par la Fédération Espagnol de l’Ordre Mixte International  » Le Droit Humain »  et la Grande Loge Féminine d’Espagne (GLFE).

COMMUNIQUE

Le jour de la femme

Sur cette journée dédiée à la défense des droits des femmes, la Fédération espagnole mixte internationale Ordre maçonnique Le Droit Humain – le droit de l’homme veut, basée sur la philosophie intégrée dans les principes fondamentaux en 1893, la mention suivante:

  1. Son opposition absolue à toute réduction des droits obtenus par les femmes, y compris le mineur n’est pas disposer librement de leur corps et de décider sur quelque chose d’aussi important que la maternité.

  2. Signaler que cette perte de droits se produit dans une situation de régression généralisée de ceux-ci et dans lequel les femmes, comme il est habituel dans ces cas, il va encore pire arrêter l’homme depuis la perte inhérente à toute personne perd les qui affectent exclusivement par leur sexe

  3. Exiger État laïque absolue afin de déterminer qu’aucune religion morale collective. Si la société est plurielle et ses live-croyants de différentes religions et les non-croyants morale sociale devrait être, en ce sens, absolument neutre.

  4. Pour réitérer, une fois de plus, que les droits ne constituent pas des obligations et sont donc levées ou non en fonction des décisions strictement personnelles.

  5. Notre demande de mettre fin à la discrimination dont les femmes continuent de souffrir dans le lieu de travail et a augmenté dans le contexte de crise dans laquelle nous nous trouvons.

  6. Nos vrais politiques d’égalité de la demande à laquelle vous ne pouvez pas ignorer l’inclusion de valeurs qui permettent toutes les étapes éducatives

  7. Enfin, regrettable que les pouvoirs publics en dehors de la sociale se sentent faux afin de détourner l’attention des problèmes sociaux réels et vrais débats auxquels nous sommes confrontés sont générés.

Nous avons dit, Madrid Mars 8, 2014


A.S.: